Nos articles au fil de l'eau

Calendrier 2024 Collector

Stage d'initiation à 50.00 €uros

Stage de 4 séances sur un mois pour découvrir l'Aviron

Venez tester à votre nouveau sport !

 

Le montant de ce stage sera déduit lors de votre adhésion à la saison 2024.

 

 

Nouvelles MEDAILLES Bravo !!!

C'est la rentrée au S.N.B.

Dès le mercredi 31 août 2022, les jeunes du Sport Nautique de Bergerac font leur rentrée. Ni cartable, ni stylos mais basket et combinaison pour retrouver les copains et les copines sur les bords de la Dordogne.

Cela fait du bien de retrouver les coachs, le bassin et ses habitudes d’entraînement.

Et puis, le plaisir de voir de nouvelles têtes arriver, rejoindre les rangs. Les éducateurs se mettent en quatre pour que les nouveaux apprécient l’aviron et pour que rapidement, ils puissent monter avec les rameurs confirmés dans de « vrais » bateaux. S’ils accrochent et s’entraînent régulièrement, ils pourront être compétitifs dès la première année.

C’est une nouvelle saison qui commence, toute une année d’entraînement en bateau et au sol ponctuée par des compétitions sur ergomètre et en bateau individuel, pour finir au top de sa forme, de sa technique et de la cohésion d’équipage lors des compétitions en fin d’année. Juin et Juillet, mois des championnats de France, objectif de tout rameur. Et les Bergeracois seront comme toujours au rendez-vous, le plus souvent possible dans le bateau roi, le huit qui comporte en fait neuf équipiers puisqu’il ne faut pas oublier le barreur.

Cette année, ce sont les cadettes en quatre barré qui se sont illustrées ramenant fièrement un titre de championnes de France d’aviron. Les minimes filles ont brillé également en gagnant une belle médaille d'argent au championnat de France.

Alors si vous voulez faire partie de l’aventure, le Sport Nautique vous accueille. Même si l’âge idéal pour commencer l’aviron est 12-13 ans, on peut démarrer à partir de 10 ans. Mais on peut aussi s’y mettre plus tardivement sans être en difficulté comme dans certains sports.

Si tu as aimé ramer sur la Dordogne,

viens rejoindre les dragons du Sport Nautique de Bergerac...

L'aviron, c'est TOP...

 

Des réductions pour que l'aviron soit accessible à tous

 

Offre spéciale nouveau licencié mineur : 50% de réduction sur la licence pour une première adhésion d’un mineur seulement jusqu’au 24 septembre

 

Offre spéciale famille : réductions de moins 15% à moins 40% de 2 à 5 adhérents de la même famille

 

Aide possible "Pass Sport" : 50€ accepté avec lettre originale (Selon conditions de ressources) 

 

Aide possible du Conseil départemental de la Dordogne : 25 € (jusqu'à 16 ans)

 

 

Renseignements       

06 33 39 09 01

 

AVIFIT

On garde l'esprit de l'aviron et du SNB, on saupoudre de fitness, d'un peu de musique, de bonne humeur et on mélange toutes les générations pour obtenir une activité physique très complète. Comme en aviron, on travaille l'ensemble du corps, sans effet de choc, de manière ludique (s'amuser est essentiel, performer est accessoire) et qui peut répondre à différents objectifs personnels : s'entretenir au niveau musculaire et cardiaque, retrouver le goût de l'activité physique, perdre du poids, venir s'éclater pendant 1 heure avec ses amis ou en famille...

Horaires des séances environ 1 h :

Mardi 19h15

jeudi 18h

vendredi 12h30

 

Venez essayer...

Séances de découverte de l'Avifit 

(30 min entre 16h et 17h30)

 

Samedi 3 septembre

Mercredi 7 septembre

Samedi 10 septembre

 

Renseignements

06 11 62 50 78

 


Opération viens ramer pour 1€ se poursuit en Juillet


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14 juillet 2022 du Nouveau


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Championnats bateaux courts

 

Téo Rayet sur la bonne voie !

 

 

 

Téo Rayet et ses équipiers de Bergerac étaient aux championnats de France Bateaux courts du 14 au 17 avril à Cazaubon (Gers) pour tenter de se qualifier dans les collectifs nationaux.

 

 

 

Chez les juniors un seul équipage de Bergerac avait réussi a passer le cap des Championnats de zones, Léa Jarjanette et Laura Pialleport prennent une belle 12 ième place lors des championnats de France en deux sans barreur J18 femme.

 

 

 

Sur les 7 équipages séniors qualifiés 3 ont passé la première journée des championnats significative de séries et de demies finales nationales. Téo Rayet et son équipier d’Aix les Bains s’adjugent le second temps général lors de toutes les courses qualificatives derrière les Verdunois très fort.

 

En finale le scénario et le même, le Bergeracois et son compère deviennent vice-champions de France de la catégorie reine du deux sans barreur séniors et marche sur les traces de ses aînés, comme Michel Andrieux et Julien Desprès.

 

 

 

Téo sera en stage national du 28 avril au 16 mai avec le groupe Olympique la semaine prochaine à Vaires sur Marne pour préparer les régates D’Essen (Allemagne) et se confronter au niveau mondial pour la première fois de l’année.

 

14 juillet 2022 du Nouveau


CHAMPIONNAT JEUNE

 

Grosse journée encore pour les dragonneaux qui ont fait le déplacement à Libourne en ce dimanche 16 janvier.

 

Une épreuve qui ne se déroulait pas sur l’eau, ni sur l’ergo mais au sol !!

 

Un rameur est avant tout un athlète, il doit connaître et maitriser les différentes pratiques sportives qui lui seront essentielles dans sa construction physique !! A savoir, la base : footing, bondissements, réflexes et contrôle de soit…

 

Félicitations aux jeunes guerriers qui ont bravé le froid et l’effort, on se retrouve vite sur l’eau pour une nouvelle étape !!!

 


C’est la rentrée au Sport Nautique de Bergerac

 

Dès le mercredi 1er septembre 2021, les jeunes du Sport Nautique de Bergerac font leur rentrée. Ni cartable, ni stylos mais basket et combinaison pour retrouver les copains et les copines sur les bords de la Dordogne.

 

Cela fait du bien de retrouver les coachs, le bassin et ses habitudes d’entraînement.

 

Et puis, le plaisir de voir de nouvelles têtes arriver, rejoindre les rangs. Les éducateurs se mettent en quatre pour que les nouveaux apprécient l’aviron et pour que rapidement, ils puissent monter avec les rameurs confirmés dans de « vrais » bateaux. S’ils accrochent et s’entraînent régulièrement, ils pourront être compétitifs dès la première année.

 

C’est une nouvelle saison qui commence, toute une année d’entraînement en bateau et au sol ponctuée par des compétitions sur ergomètre et en bateau individuel, pour finir au top de sa forme, de sa technique et de la cohésion d’équipage lors des compétitions en fin d’année. Juin et Juillet, mois des championnats de France, objectif de tout rameur. Et les Bergeracois seront comme toujours au rendez-vous, le plus souvent possible dans le bateau roi, le huit qui comporte en fait neuf équipiers puisqu’il ne faut pas oublier le barreur.

 

Cette année ce sont les cadettes en quatre barré qui se sont illustrées ramenant fièrement une belle médaille d’argent et un titre de vice-championnes de France d’aviron.

 

Alors si vous voulez faire partie de l’aventure, le Sport Nautique vous accueille. Même si l’âge idéal pour commencer l’aviron est 12-13 ans, on peut démarrer à partir de 10 ans. Mais on peut aussi s’y mettre plus tardivement sans être en difficulté comme dans certains sports.

 

Les contraintes liées au covid sont les mêmes que dans tous les clubs sportifs : pass sanitaire* pour les majeurs et pass sanitaire pour les 12/17 ans à partir du 1er octobre.*

* Les personnes pour lesquelles la vaccination contre le Covid-19 est contre-indiquée peuvent demander à leur médecin un certificat médical pouvant être présenté dans les lieux, services, établissements et événements où le passe sanitaire est exigé. Un décret publié au Journal officiel le 8 août 2021 ...

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15102

 

Horaires d’entraînement :

Ecole d’aviron 10-12 ans, Minimes 13-14 ans, les mercredis et samedis de 14h à 16h

Cadets 15-16 ans les mercredis, samedis de 16h à 18h et dimanche de 9h à 11h

Juniors 17-18 ans les mercredis, samedis de 16h à 18h et dimanche de 9h à 11h

Adultes débutants les samedis de 10h à 12h,

Adultes non débutant les mercredis, samedis de 16h à 18h et dimanche de 9h à 11h

Offre spéciale nouveau licencié mineur : 50% de réduction sur la licence pour une première adhésion d’un mineur seulement jusqu’au 21 septembre

Offre spéciale famille : réductions de moins 15% à moins 40% de 2 à 5 adhérents de la même famille

Pass Sport : 50€ accepté avec lettre originale. (Suivant conditions de ressources). 

Renseignements       

06 33 39 09 01 - 06 85 11 81 14

AVIFIT

On garde l'esprit de l'aviron, et du SNB, on saupoudre d'un peu de musique, de bonne humeur et on mélange toutes les générations pour obtenir une activité physique (comme en aviron, on travaille l'ensemble du corps, sans effet de choc), ludique (s'amuser est essentiel, performer est accessoire) et qui peut répondre à différents objectifs personnels : s'entretenir au niveau musculaire et cardiaque, retrouver le goût de l'activité physique, perdre du poids, venir s'éclater pendant 1 heure avec ses amis ou en famille...

 

Activité très complète adaptée à tous les profils

 

Horaires des séances environ 1 heure :

Mardi 19h, jeudi 18h, vendredi 12h30 et samedi 10h sur validation

 

Les contraintes liées au covid sont les mêmes que dans tous les clubs sportifs : pass sanitaire* pour les majeurs.*

* Les personnes pour lesquelles la vaccination contre le Covid-19 est contre-indiquée peuvent demander à leur médecin un certificat médical pouvant être présenté dans les lieux, services, établissements et événements où le passe sanitaire est exigé. Un décret publié au Journal officiel le 8 août 2021 ...

 https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15102

 

      Renseignements       

06 11 62 50 78

 


Portes ouvertes Samedi 4 et 11 septembre 21


de 10h à 12h et de 14h à 18h

Séance à 10h, 11h, 14h,15h, 16h, 17h

Le Sport Nautique de Bergerac lance une opération portes ouvertes pour accueillir les jeunes et moins jeunes qui veulent s’essayer à l’aviron, sport emblématique de Bergerac.

 

C’est l’occasion de découvrir un club qui fête ses 161 ans, une structure bien rôdée qui a formé des générations de rameurs et de champions.

 

C’est aussi l’opportunité de découvrir l’aviron dès la première séance, sur la Dordogne, dans des conditions idéales de sécurité et en bateau individuel d’initiation. Dès la première séance, le rameur débutant appréciera de faire glisser son bateau. C’est le grand plaisir du rameur.

 

En cette période difficile en raison de la covid-19, pouvoir pratiquer un sport en plein air est une grande chance. L’aviron est assez préservé de ce point de vue. La pratique en bateau collectif est même autorisée en raison de la distance suffisante entre rameurs. Faire le choix de ce sport peut être judicieux en ces temps qui risquent d’être encore compliqués.

 

La seule condition est de savoir nager. On peut commencer à partir de 10 ans à l’Ecole d’aviron et on peut pratiquer jusqu’à 83 ans et plus comme Jean Pierre doyen dans la catégorie Loisirs.

 

L’aviron est un sport d’endurance dont les bienfaits pour le corps sont nombreux tant au niveau musculaire qu’au niveau cardio respiratoire. C’est aussi un sport porté qui est non traumatisant pour les articulations. C’est à la fois un sport individuel et collectif où la cohésion entre équipiers et la rigueur de l’entraînement sont essentiels. Des valeurs qui se perdent parfois dans nos vies modernes mais qui restent centrales à l’aviron.

 

Les adultes venez tester l’Avifit, AVI-RON + FIT-NESS il s'agit d'un activité basée sur des mouvements composés sur les machines à ramer qu’on nomme ergomètres. C’est une discipline qui mixe l’aviron indoor et de fitness, tout cela en musique pour renforcer musculairement le corps entier et acquérir très vite une meilleure condition physique. 

l’Avifit, c'est s'entretenir au niveau musculaire et cardiaque, retrouver le goût de l'activité physique, perdre du poids, venir prendre du plaisir avec ses amis ou en famille...

 

Il faudra aussi présenter son pass sanitaire si on est majeur pour pouvoir participer à ces journées de découverte.

Alors, n’hésitez pas à amener vos enfants et à venir vous même au club, promenade Pierre Lotti pour essayer l’aviron, l'avifit vous risquez d’adorer


Les rameurs et rameuses du SNB ont du panache: Les cadettes, vice-championnes de France

C’est à Mantes-la- jolie qu’avaient lieu trois championnats de France entre le 14 et le 18 juillet pour clôturer une saison 2021 à l’aviron avec une grosse délégation de 54 rameurs Bergeracois.

 

Le quatre filles J16, composé de Morgane Sorbier, Chloé Jarjanette, Célia et Emmie Bry, barré par Cécilia Chort a bénéficié de ce savoir-faire SNB. En deux ou trois ans, elles ont acquis les compétences nécessaires pour briller au meilleur niveau. Elles reviennent avec une médaille d’argent qui ouvrent de belles perspectives pour l’avenir.

 

 

Ce sont les minimes J14 qui ont commencé avec entre autres, un très beau quatre de couple filles composé de Margot Atzori, Lana Delbos, Lydie Pervieux et Grace Lewin qui se classent à la 5ème place et un quatre garçons qui gagne sa finale D. Un huit minimes filles composé de beaucoup de J12 a engrangé de l’expérience grâce à ce premier championnat. Le SNB, club formateur par excellence saura les faire grandir pour qu’elles deviennent compétitives dès l’année prochaine.

Le SNB possède une grande tradition et force de formation. Du fait de sa structure très organisée pour la formation dans les jeunes catégories, avec quatre entraîneurs pro et huit bénévoles qui perpétuent une tradition d’entraînement qui a fait ses preuves depuis des décennies. Premier club de France pendant 10 ans dans les années 1980 et presque toujours dans le top 10 des clubs français depuis, les bonnes pratiques se transmettent de génération en génération. Antoine Deleau, entraîneur en chef aujourd’hui et la nouvelle équipe dirigeante avec Bruno Henry et Bertrand Razat, co-présidents se fixent des objectifs ambitieux pour le SNB : accueillir toujours plus de jeunes pour les amener progressivement vers le haut niveau et maintenir le club en 1ère division.

 

Le huit garçons J16 a aussi brillé par une progression constante sur ces deux derniers mois de préparation et termine à la 8ème place.

 

Enfin, cette semaine de championnats se clôturait par les sprint seniors. Les juniores filles surclassées en séniores et le double mixte réussissent leur championnat et se classent respectivement 12ème et 14ème.

Le SNB a réussi son défi d’aligner deux huit séniors avec de grandes ambitions. Le gros huit composé d’Hadrien Godé, Quentin et Nicolas Stender, Téo Rayet, Antoine Perdigal, Quentin Lauriou, Nicolas Chechelski et Nicolas Delage, barré par Roxane Chauvin accroche une très belle 4ème place dans une finale très dense où les costauds ont 500m pour déployer toute leur puissance en 1min20 environ sans droit à la faute. Un petit regret quand même de ne pas avoir accroché une médaille comme l’an passé. Quant au deuxième huit, il réussit à gagner sa finale C.


L’été sportif des 10/15 ans

1€ pour découvrir l’aviron

 

Vous avez été plus de cent jeunes à venir découvrir l’aviron l’été 2020. Certains ont rejoint les dragons en septembre dernier. Devant ce succès le Sport Nautique de Bergerac renouvelle l’opération ‘’ 1 € pour découvrir l’Aviron’’.  

 

Nous lançons la deuxième édition de « l’été sportif des 10/15 ans : 1€ pour découvrir l’aviron » pour permettre au plus grand nombre de venir découvrir le club et l’aviron dans des conditions privilégiées pour faciliter la réussite et le plaisir.

 

Les jeunes ont besoin d’activité physique, de plein air, de partage et d’échange.

L’aviron est le sport idéal pour satisfaire tous ces besoins et même en période de contraintes dues aux protocoles sanitaires, l’activité du club ne s’est jamais arrêtée. C’est l’avantage d’un sport de plein air qui se pratique en bateau collectif mais aussi en bateau individuel.

 

 

Le SNB propose 18, promenade Pierre Loti à Bergerac, des séances "découverte de l’aviron" tous les mardis et jeudis des mois de juillet et août, le matin de 10h à 12 .

 

 

Les conditions sont idéales : petit groupe de 9, initiation au tank à ramer puis bateau individuel d’initiation très stable qui permet de pratiquer sur la Dordogne en toute sécurité, le tout encadré par des entraîneurs diplômés.

 

De quoi très vite être en réussite en déplaçant son embarcation facilement sur un parcours balisé et pour la plupart, ressentir son bateau glisser ce qui est le grand plaisir du rameur.

 

Vous avez soif de découverte, de nouveauté, cette expérience vous tente ; il est temps de réserver en ligne votre séance découverte en cliquant sur le lien suivant :

 

https://sport-nautique-de-bergerac.assoconnect.com/collect/description/137359-u-l-ete-sportif-des-10-15-ans-1-pour-decouvrir-l-aviron

 

Partagez cette idée avec vos amis pour venir vivre à plusieurs cette expérience de l’aviron sur la Dordogne.

 


Les CM2 au SNB

 

Le Sport Nautique de Bergerac accueille depuis une quinzaine d'années les classes de CM2 de Bergerac pour des séances de découverte de l'aviron et organise chaque année le Challenge scolaire aviron qui a réuni tous les ans, près de 300 élèves pour une journée de rencontre sportive.

 

Malheureusement, compte tenu de la situation sanitaire, nous ne pouvons plus réunir autant d’élèves un même jour pour une rencontre sportive.

Aussi, nous avons revu notre projet pour les scolaires et nous proposons cette année le "Nouveau challenge scolaire à l'aviron".

 

Traditionnellement, seules les classes de Bergerac participaient à ce projet. Cette année, le SNB a souhaité permettre aux classes de CM2 des villages proches de Bergerac de vivre l’expérience de l’aviron.

 

Ce ne sont pas moins de 350 élèves de CM2 qui sont accueillis durant ce mois de juin au club pour un mini stage d’une demi-journée.

 

Il s’agit bien plus qu'une simple séance de découverte de l’aviron, mais aussi l'occasion de mettre le groupe en situation de coopérer pour être plus performant, car il faut s’entraider pour emmener les rames et les bateaux au ponton, il faut aider ses camarades à embarquer et débarquer.

 

L’initiation débute par le tank à ramer, une piscine intérieure où on peut apprendre le geste sans les problèmes de déséquilibre et d’orientation.

 

Puis, vient le moment d’embarquer dans un bateau d’initiation très stable, qui permet aux débutants de se déplacer facilement en toute sécurité. Les plus débrouillés pourront même sentir leur bateau glisser, ce qui fait le grand plaisir du rameur.

 

Ensuite, la séance se poursuit par une visite du garage à bateaux avec la découverte des différentes embarcations du skiff au huit.

 

Enfin, il faut monter sur l’ergomètre, la machine à ramer et employer toute son énergie pour parcourir la plus grande distance possible en 40 secondes, pour figurer au mieux dans le classement individuel de sa classe mais aussi de toutes les classes participantes.

 

A l’issue de ce mois de juin, le classement final sera établi et la meilleure classe remportera le « Nouveau challenge scolaire à l’aviron 2021».

 

Pour voir les résultats : https://sport-nautique-de-bergerac.assoconnect.com/collect/description/182607-g-les-cm2-au-snb

 

Le SNB espère que ce mini-stage offert aux petits bergeracois, leur donnera envie de poursuivre l’expérience dans le cadre de « L’été sportif des 10/15 ans : 1€ pour découvrir l’aviron ». Les jeunes auront la possibilité de continuer à s’initier les mardis et jeudis des mois de juillet et août, en petit groupe de 9, encadrés par les éducateurs diplômés.

 

Les plus motivés, désireux de rejoindre les dragons du SNB seront accueillis dès la rentrée de septembre à l’École d’aviron.

 

L’aviron, c’est le plaisir d’un sport de pleine nature et les joies du partage au sein d’un collectif. De quoi se faire plaisir et des amis pour la vie …

 

Tu as aimé ramer en skiffy sur la Dordogne avec ta classe,

 Reviens cet été

 



Les collégiens de Bergerac embarquent au SNB

 

Le mois de mai sera celui des collégiens bergeracois à l’aviron. En effet, les 6èmes et 5èmes sont accueillis au club dans le cadre des cours d’EPS, pour deux séances de découverte de l’aviron en bateau individuel d’initiation.

 

Le Sport Nautique de Bergerac offre aux collégiens qui ont apprécié cette première expérience, la possibilité de poursuivre cet été, dans le cadre de « L’été sportif des 10-15 ans : 1 € pour découvrir l’aviron ».

 

Ils pourront venir gratuitement pendant 1 à 3 séances, les mardis et/ou jeudis de 9h à 11h, durant les mois de juillet et août 2021.

 

 

Et si la motivation se confirme, ils pourront intégrer les équipes minimes du SNB, dès la rentrée de septembre. Durant les trois premières semaines de septembre, la licence est à moitié prix pour une première adhésion : 72.50€ au lieu de 145€.

 

L’âge idéal pour commencer l’aviron est autour de 12-13 ans. Ils feront bien sûr des entraînements en bateau mais aussi des entraînements au sol pour améliorer la coordination et la condition physique. De quoi varier les plaisirs… Ils pourront vivre l’expérience de la pratique sportive au sein d’un grand club, avec des encadrants certifiés et au contact de grands champions…

 

Par ailleurs, ils participeront aussi au « Challenge des collégiens bergeracois à l’ergomètre ».

 

Ils ont employé toute leur énergie pour parcourir la plus grande distance possible en 40 secondes sur l’ergomètre.

Une fois inscrit, pour connaître le classement dans sa classe mais surtout dans son collège et même sur les collèges bergeracois, cliquez sur le lien suivant.



L'aviron vous tente ?

 

Vous voyez passer de nombreuses embarcations sur la Dordogne et vous vous dites que ce sport est sans doute réservé à une élite ? Détrompez-vous ! Vous aimeriez essayer, proposer cette activité à vos enfants, mais vous n’osez franchir le pas ? Rien de plus simple : adressez-vous directement au club, situé promenade Pierre Loti, du mardi au samedi. Vous y serez bien reçu et obtiendrez les renseignements nécessaires.

 

Venez découvrir un sport complet, un esprit collectif et un plan d'eau hors du commun.

 

... Embarquez avec nous !

 



Retour d'expérience par nos forçats de l'ergomètre après l'épreuve du 100 km

# par Vincent Ménégon

 

Si on m’avait demandé de résumer ce Run de 100 km en ergo en une seule phrase, j’aurais pu dire : « Il ne faut pas s’aimer pour faire ça !! »

 

Oui, il ne faut vraiment pas s’aimer, et mes 2 coéquipiers, Nathalie et Vincent, l’ont entendu plusieurs fois ce samedi 16 Mai 2020. Aussi, c’est une expérience à réaliser avec quelques bornes dans les jambes quand même. C’est une condition essentielle à la réussite de cette course sur ergomètre, mais pas uniquement. À mon avis, la première condition de réussite c’est LE MENTAL. Et ce, en 3 verbes : vouloir, être capable, valider mentalement. Un plus pour moi, il me semble, c’était que je n’avais pas d’objectifs surréalistes. Il fallait tout simplement que je finisse ce Run proprement en 8h00, voire 8h30, sans faire appel à mes anciens collègues du Centre de Secours Principal de Bergerac.

 

On était vraiment bien tous les 3, ce samedi, suffisamment proches et suffisamment éloignés (réf. COVID-19) pendant un peu moins de 8h00, à proximité des coques du #snBergerac, avec une vue directe sur la rivière Dordogne. Merci à Vincent d’avoir eu l’idée de ce rapprochement et merci aux Coprésidents et entraîneurs d’avoir validé ce projet.

 

Mon ressenti de course se fera en 4 étapes.

 

1-      De 00 à 40 km, soit environ 3h, c’était très facile sans aucune douleur, un B1 quoi. J’ai dû manger 5 ou 6 dattes, boire 3 litres d’eau additivée (ISO+), avec mon pote d’à côté on se disait des conneries

 

2- Après le premier marathon, j’ai commencé à ressentir des douleurs musculaires dans les cuisses, douleurs partagées avec Nathalie et Vincent, mais bon rien de méchant. Je regarde mon compteur, et je vois le passage de 50 000 m à 49 999 m. Quel plaisir de voir cela, je suis sur le trajet retour, peut être que je vais y arriver. Aussi je me pose la question : « Mais jamais tu n’es allé au-delà Vincent ? » Oui et alors, maintenant tu y es, tu continues ! Je ne peux pas écrire toutes les questions ou scénarii que j’ai pu me poser, ce serai vraiment trop long.

 

3-      Arrivent les 20 000 derniers mètres, là je suis dans l’impasse ! J’ai mangé 2 bananes, 1 kg de dattes (non pas tant) et bu déjà environ 6 litres d’eau dopée. Oui, je suis dans l’impasse, je repense au sketch de « la palombière », à savoir : « J’ai plus faim, j’ai plus soif, mais j’ai toujours envie de pisser. » Sérieux, je n’en pouvais plus, il fallait que j’aille pisser. Bah alors j’ai dit : je me fiche pas mal du chrono, je pose le manche, je m’accoude au mur et je passe en mode Labrador... ça libère vraiment les chakras. Bref cela me permet de me détendre jusqu’au dernier 10 000. Forcément après ça (pipi, manger, boire) ma moyenne au 500 m a pris un sacré pet derrière les étiquettes. J’étais à 2 :18.7 et passe au-dessus de 2 :19. Pas grave, je m’en tape, je ne joue pas un titre ou la maison.

 

4-      Quand je vois 9 999 m, tout s’illumine dans le bocal. Mis à part les multiples douleurs gérables, même les trapèzes et cervicales, tiens ça me rappelle les retours en bus les dimanches soir, le couple ventilation/cardio est au top. Je tape à ±145 bpm. Donc là je me dis : « Vincent tu dois arriver aux 100 km les réservoirs vides. » Donc j’ai poussé un peu plus, aidé par les encouragements de mon pote Vincent. 5 000 m le rêve, je suis bien et j’ai réussi à descendre à 2 :13 sans souffrance. Puis arrive le dernier 2 000 m, là je m’amuse (façon de dire) à faire des impulsions à 2 :00 au 500. Le dernier 1 000 m, le dernier 500, 250, 100 ! Moins de 10 coups à faire. Et puis la fin, la libération, bordel j’ai réussi à finir ce 100 km. Je pensais pouvoir le réaliser en 8h00, voir 08h30, si ça allait mal. Bah non j’ai mis 07:43:13.3 et après 9 507 impulsions !!! C’est un double exploit pour moi, le finir et en moins de 08h00. Cela conclut en beauté cette partie indoor due au confinement.

 

Je remercie tout d’abord ma femme pour m’avoir supportée pendant tout ce confinement où j’ai ramé pratiquement tous les jours. Enfin je remercie Antoine Deleau ainsi que nos 2 Présidents Thierry Beaumain et Bruno Henry car sans eux je n’aurais jamais pu réaliser ce dernier Run ainsi que ces presque milles kilomètres (979 133 mètres exactement).

 

 

# par Nathalie Villechenaud

 

Le confinement a été l’occasion de se lancer dans des défis extraordinaires sur l’ergomètre. Ça a commencé avec le semi-marathon : 21 km c’est comme monter jusqu’au rocher (ça parle aux habitués) donc rien de compliqué, puis le marathon 42km ça paraissait plus difficile mais beaucoup de rameurs à travers la France se lançaient dans ce défi, il n’était donc pas impossible. Les coureurs à pieds ont des épreuves mythiques, le marathon en est une. J’ai toujours eu envie de pouvoir vivre ce genre d’épreuve physique mais la course ce n’est plus pour moi. En revanche, le faire sur un rameur c’était possible. Et puis on a vu quelques rameurs réaliser le défi du 100 km. Ça a déclenché une envie irrésistible de tester cet effort très particulier, qu’on nomme d’ultra endurance. Un 100 bornes c’est très parlant pour moi qui ai vu mes parents dans les années 80 faire les 100 km de Belvès (je les suivais avec mon petit vélo et les ravitaillements sur le porte bagage). Je voulais faire moi aussi cette expérience.

 

J’avais confiance dans mes qualités d’endurance. Quand on vieillit et si on s’entraîne bien, ce qu’on perd en puissance on le compense par une grosse capacité aérobie. Mais il faut trouver l’allure qui permet de durer pendant des heures sans trop s’approcher de la limite où on commence à produire de l’acide lactique. C’est l’allure en endurance fondamentale, entre 60 et 70% de sa fréquence cardiaque maximale. Donc j’ai cherché l’allure idéale pour rester facile pendant 2h. Conclusion : entre 2min 21 et 2min 23 aux 500m c’était l’allure facile. Ça amenait à faire le 100km plus ou moins en 8h.

 

Et puis j’ai regardé le temps du record du monde par curiosité 7h50m56s soit 2m 21s 2 aux 500m soit pas très loin par rapport à ce que j’envisageais. Il était donc accessible, enfin peut-être…

 

C’est là que j’ai beaucoup douté et hésité entre la sagesse de partir plutôt en dedans pour être sûre de finir ou bien tenté le record en partant un peu plus haut avec le risque de partir trop fort et de prendre le mur comme on dit.

 

La veille, j’étais sur la version sage. Et j’ai vu la performance d’un rameur d’Arcachon qui a battu le record de France du 100 km en partant à 72% de son max et en réussissant à tenir l’intensité tout le long. Un petit message pour lui demander des conseils et une réponse à 5h du matin le jour J qui me confirme que je peux envisager la version plus haute. Ça y est, je suis décidée, je vais partir sur les bases du record et essayer de tenir. On verra bien.

 

6h40 à la fraîche, prête à commencer avec mes complices, les deux Vincent, suffisamment à distance par rapport aux règles de distanciation physique mais présents pas loin. Ça rassure quand même de ne pas être totalement seule.

 

C’est parti, sur la base de 2min 20s aux 500m et le cardio se cale sur 132 battements à la minute comme prévu. J’ai prévu de regarder des séries de Netflix sur ma tablette le temps de l’autonomie de mes écouteurs sans fil c’est-à-dire 4h. C’est facile, je suis en équilibre respiratoire mais je doute un peu car le cardio dépasse assez souvent la limite que je me suis fixée. Mes coéquipiers battent plus bas, ils sont plus sages. La question est jusqu’à quand le cardio va rester comme ça. J’essaie de contrôler, de maîtriser l’intensité pour que le cardio se calme. Mais je me sens très bien.

 

3h après, les douleurs musculaires commencent à apparaître surtout dans les ischios. Mais rien de grave. Je cherche le relâchement, l’économie du geste. Le cardio s’approche de 140, il monte tout doucement, tout va bien.

 

50km, on bascule du bon côté mais il en reste autant donc il va falloir être très patiente. Le cardio s’approche de 150 c’est comme un entraînement en B2 je sais qu’on peut tenir très longtemps à ce rythme, j’ai confiance. Les séries c’est fini, il n’y a plus de distraction mais je me rends compte que les heures défilent plutôt rapidement. Je fais très attention, dès le départ, à boire de l’eau sucrée toutes les 20 min et à manger un peu toutes les heures. Et cela rythme mon effort. Je me réjouis parce que dans 5 min je vais boire. Ça passe relativement vite. On se satisfait de tout petit rien. On est vraiment dans l’instant présent. Je suis toujours à égale intensité, depuis le début je tire à 2min 20 / 21 aux 500m juste en dessous du record.

 

Il reste 20 km, je reste très prudente, je ne veux pas accélérer parce que je sais qu’une défaillance est possible jusqu’à la fin. La douleur aux talons qui frottent est assez désagréable. Je pense à me redresser pour soulager mon dos, je veille à raccourcir la longueur du coup pour protéger mes genoux fragiles. Je suis toujours très à l’aise au niveau cardio mais je commence à sentir une fatigue dans les bras alors je me concentre sur la poussée des jambes. Ça occupe l’esprit.

 

6000m avant la fin, je suis toujours très bien au cardio, 155 battements/min environ et je me dis que je suis en tête de rivière à Sainte Livrade, en gros dans une demi-heure c’est terminé. Ça va le faire ma moyenne aux 500 est largement en dessous du record, je me rends compte qu’elle ne bougera pas beaucoup, alors je continue au même rythme sans en faire plus.

 

2000m, dernier bassin, dans 9 min c’est fini. J’aurais voulu pousser un peu plus mais à quoi bon. Je vais attendre. Pourquoi se faire mal ?

 

Dernier 500m bon là pour le plaisir de finir un peu plus tôt et parce que la défaillance n’arrivera pas, j’augmente l’intensité pour le plaisir de faire un tout petit « enlevage ».

 

J’ai gagné mon pari personnel, 7h 49min 36s soit 2min 20s 8 aux 500m, record du monde dans ma catégorie.

 

Je suis contente d’avoir réussie et je suis aussi très contente de l’avoir fait sans souffrir. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, je n’aime pas avoir mal. Etonnement, je n’ai pas senti la douleur musculaire que l’on ressent à la fin d’une course sur 500m, sur 1000m et sur 2000m. Cet effort-là est tout à fait différent. Il n’est pas désagréable du tout quand tout se passe bien et qu’on ne rencontre pas le fameux « mur ».

 

La fatigue, je l’ai sentie dès que je me suis arrêtée et que je me suis levée comme si le mouvement perpétuel avait en quelque sorte anesthésié mon corps. Pour finir, c’était une sacrée expérience sportive, très centrée sur soi, c’est vrai mais qui contribue à mieux se connaître encore.

 

Merci aux deux Vincent qui ont accepté de relever le défi avec moi, aux présidents Bruno et Thierry qui ont accepté qu’on le fasse devant le club, aux copains qui sont passés nous voir et aux coachs qui acceptent nos délires un peu fous de vieux rameurs.

 

 

# par Vincent Martin

 

Bon alors, comment résumer cette folle aventure ?

 

Tout d’abord, il faut revenir à ce qui nous a amené là, c’est-à-dire le confinement car je crois bien qu’avant cela, personne (du moins normalement constitué) n’aurait pensé à se lancer dans un tel défi.

 

Pour ma part, tout est allé vite. J’ai un ergomètre depuis 4 ans chez moi mais je n’avais jamais dépassé les 15 km. Je me rappelle les entraînements avec Christian Crespy pour le Crunch à Paris, j’ai passé deux mois à me lever à 4h du matin pour pouvoir m’entraîner. Mais là c’est autre chose avec le confinement, il n’y a pas d’enjeu, à part d’occuper le temps. Donc on a participé au World Erg Challenge d’avril et là tout s’est enchaîné, semi-marathon, marathon, relai 24h jusqu’au fameux 100 km.

 

En ce qui me concerne, j’ai rempli cette mission, jusqu’aux trois quarts mais cela valait le coup. Déjà pour respecter l’esprit de camaraderie qui impose à vos coéquipiers de vous attendre quand vous êtes en retard. Ce jour J, je pars avec l’esprit ailleurs en sachant pertinemment que je n’avais pas la condition pour le faire. Mais étant donné que je m’étais engagé, je devais aller jusqu’au bout.

 

Donc pour résumer, je pars sur un facteur de résistance peu élevé par rapport à d’habitude (90), les 40 premiers km passent comme une fleur. Merci au passage à Vincent de m’avoir mis les Pink Floyd.

 

Ensuite, je me sens pousser des ailes, je passe d’une moyenne à 2m11s aux 500m à 2m06s sur 20 km et là je savais que ça ne tiendrait pas mais peu importe pour ma tête de mule, je ne sais pas faire les choses en douceur.

 

Le verdict tombe au 74ème kilomètre avec abandon. Cela ne me ressemble pas mais il faut se faire une raison.

 

C’est un échec qui va me permettre de reconstruire derrière. Je remercie Vincent et Nathalie qui m’ont supporté et je les félicite d’être arrivés au bout.

 

Les exploits du SNB relatés dans Sud-Ouest

Après la victoire du Sport Nautique de Bergerac dans le "World Erg Challenge", le journal Sud-Ouest relate les exploits de nos rameurs en cette période de confinement.

Vous pouvez revivre leurs exploits à travers l'article du journal, ou en relisant, sur notre site, les témoignages de nos forçats de l'ergo.

Le Sport Nautique de Bergerac vainqueur du « World Erg Challenge »

La saison sportive est à l’arrêt, les compétitions nationales et internationales en aviron comme pour les autres sports sont annulées et les seules perspectives de compétitions sont à présent pour le mois de septembre, si la situation en France s’améliore et autorise la reprise des activités sportives. Une situation très difficile pour les rameurs qui bouclaient leur grosse préparation hivernale et qui allaient commencer la partie la plus réjouissante de la saison, celle des compétitions d’abord en bateaux courts puis en bateaux longs.

 

La direction sportive du Sport Nautique de Bergerac a voulu, malgré cette situation, permettre à ses rameurs de conserver une activité sportive pour maintenir les acquis et entretenir leur condition physique afin d’être prêts pour la reprise des compétitions quand elle aura lieu.

 

Ainsi, une trentaine d’ergomètres (rameurs concept 2) et du matériel de musculation ont été prêtés par le club à une sélection de rameurs de la catégorie J16 aux séniors. 

Pour animer le confinement et apporter une émulation à distance dans le groupe, la « Team SN Bergerac » a été créée pour participer au "World Erg Challenge" concept 2 du 15 mars au 15 avril. Il s’agissait de ramer sur « l’ergo » tous les jours pour les plus âgés et de suivre le plan proposé par les entraîneurs mais aussi de cumuler pour l’équipe le maximum de kilomètres.

 

Ce challenge mondial virtuel, qui intéresse habituellement les seuls passionnés d’aviron indoor, a suscité cette année un grand enthousiasme international chez les spécialistes de l’indoor confinés mais aussi chez les rameurs privés de bateau.

Les bergeracois se sont pris au jeu et sortent vainqueurs avec un cumul de 4718 km. L’équipe gagne dans sa catégorie en "Team virtuel" de moins de 20 équipiers.

Les jeunes et les moins jeunes, en confinement en Dordogne ou ailleurs en France, certains dans leur petit logement d’étudiant à Lyon, Nancy, Agen ou Toulouse se sont surpassés lors des derniers jours en effectuant des marathons à répétition. Ils ont pu ainsi découvrir une nouvelle forme de performance, celle de la longue distance alors qu’ils pratiquent d’habitude sur 2000 m.

 

Qui s'est déjà entraîné sur un ergomètre, sait que durer au-delà d'une heure sur la machine n'est pas facile. Ce sont les anciens, plus enclins aux efforts de longue distance qui ont tenté en premier ce fameux marathon entraînant dans leur sillage les jeunes, qui ont relevé le défi à leur tour de bien belle manière. Voici les témoignages des fadas du marathon :

 

"J'ai été motivé quand j'ai vu toutes les personnes dans le groupe faire un marathon. Alors on s'est dit avec les copains : "Pourquoi pas essayer de nouvelles sensations". On n'a pas été déçu, loin de là. On avait décidé de faire ce marathon à 3 avec Baptiste et Simon et on avait décidé de le faire en Facetime pour se donner du courage et trouver le temps un peu moins long. Le marathon a été très surprenant car je ne m'attendais pas à avoir autant de difficultés sur ce genre d'épreuve. Les premiers 21 kms ont été assez facilement encaissés car le mental était là. C'était pas si terrible que ça, à part que c'était long. Arrivé aux 15 derniers kms, le moral a flanché d'un coup et l'envie d'arrêter tournait dans la tête. Mais j'ai continué parce que les copains étaient là. Les 6 derniers kms étaient horribles car le mal aux fesses se ressentait très fortement et l'approvisionnement en eau était coupé. Une fois arrivé à la fin, c'était le soulagement (2h 56 min 40). J'ai eu mal aux fesses pendant les deux jours suivants. "                 Yann Le Campion

 

"Lundi 13 Avril 2020, avec Yann et Simon, on décide de faire un semi marathon pour faire notre séance de sport de la journée. On part se mettre en tenue et la on se dit sur un coup de tête : « Et si on faisait un marathon ? ». 42 km195 au lieu de 21 km c’est comment faire 10 km au lieu de 5 km je me disais…On décide de s’appeler en visio pour pouvoir communiquer sur nos moyennes et s’encourager mutuellement. 17h00, nous voilà partis pour 3h d’ergo non-stop. 20h00, 42 km 195 m plus tard, 10 gourdes bues et 3L de transpi en moins on termine le marathon. Je suis fier d’avoir fini le marathon, et ça a été une expérience très agréable malgré la fatigue accumulée derrière. Merci a Simon et Yann pour avoir fait le marathon ensemble, et à tous les gars qui sont passés nous encourager pendant l’appel visio (Alex, Guillaume, Karim, Tobias, Thibaut, Augustin...)."              Baptiste Debest

 

"Au début, je ne comptais pas faire un marathon mais seulement faire des kilomètres pour le challenge, à allure faible, en regardant des films. Mais 1h30 après, j'ai remarqué que c'était passé relativement vite et j'avais déjà passé le semi. Du coup, j'ai continué. Le problème pour moi, ce n’était pas la douleur dans les jambes mais juste la fatigue à partir de 35 kms. Je faisais des pauses toutes les 20/30 min. Et la deuxième partie est passée très lentement du coup. A la fin j'étais content de l'avoir fait et de rapporter des kms à l'équipe pour le challenge. C'était cool de l'avoir fait mais je ne compte pas le refaire d'ici un bon moment car l'ergo ce n’est pas très amusant."       Tobias Gilbert

 

"Dès qu'il y a un défi à relever, même s'il est trop grand, je tente le coup. J'aurais dû me préparer mieux que ça, faire un 25 kms (…) et moins de charge de travail 15 jours avant ça aurait été mieux. (…) Je trouve que la douleur physique est différente pas forcément mal aux jambes mais plus aux articulations d'épaules, tension dans le dos, que l'on n'a pas sur les courtes distances, mais surtout la monotonie (regarder ce putain de cadran pendant plus de 3 heures tu pètes un câble), ou alors il faudra le faire à plusieurs. Enfin bref malgré le temp médiocre que j'ai fait, très content de l'avoir fait je pensais pas un jour faire un marathon. Au moins du positif à cause de ce putain de covid 19."                                               Christian Crespy

 

"Après avoir fait le semi marathon, je voulais aussi tester le marathon et en voyant tout le monde le faire, je me suis dit que c'était l'occasion d'en faire un. (...) A partir des 35 kms, j'avais très très mal partout, j'avais plus de bras, plus de jambe et surtout très mal à rester assi sur ma coulisse, mais après je suis reparti en me disant qu'il ne restait pas beaucoup de kms et j'ai commencé à tout donner pour finir. C'est une grande satisfaction d'avoir fini le marathon."                              Augustin Caillet

"Ça y est, j’ai réalisé mon 1er marathon sur ergomètre, mon 1er marathon tout court d’ailleurs ! Quelle expérience, quel défi. Jamais je n’aurais pu me lancer dans ce défi seul. C’est grâce à la team SN Bergerac que j’ai pu valider dans ma tête de réaliser cette longue distance. L’émulation, voilà le mot adéquat : faire bien, faire mieux, se surpasser et enfin s’améliorer. Je pense que j’en referais un autre tout simplement pour faire mieux, car par crainte de ne pas y arriver, je l’ai réalisé en mode ÉCO. Cela saute aux yeux quand je regarde ma courbe cardio. Mon objectif premier était de le finir et je l’ai fini. Le plus dur reste peut-être la préparation mental, se dire que je vais ‘’ramer’’ pendant plus de 3 heures… ça fait mal aux yeux avant le départ et pendant 1 heure. Physiquement, ça a commencé à piquer dans les 3 derniers kilos. Là je me suis dit : "waouuuu tu y es arrivé, poses tout et pousses". J’ai fini il faut le dire, fatigué mais serein et surtout content du devoir accompli."      Vincent Ménégon

 

La période est aux défis et nombre de rameurs s'attaquent en ce moment aux épreuves aviron indoor proposée par la Fédération Française d’Aviron et tentent de battre quelques records. Nathalie Villechenaud, dans sa catégorie Femme Poids léger 40-49 ans, s’est d'abord attaquée au record de l'heure et a réalisé la performance de 14471m battant le précédent record de 591 m. Puis entraînée par l'émulation de la Team SN Bergerac, elle a tenté et réussi à boucler le marathon en 3 h 05 min et 58 s à seulement 5 min du record du monde. Cette performance lui vaut donc le record de France dans sa catégorie.

 

Des annulations en cascade

Bonjour à tous,

 

 

La Fédération française d'aviron a annoncé hier l'annulation et le report des championnats de France "Jeunes" (Libourne), J16 et -23 ans (Brive), Masters (Mantes-la-Jolie). Les championnats du monde juniors, -23 ans et élites sont également annulés. 

 

La saison nationale est "gelée" pour le moment mais pas finie ! Nous espérons un report des compétitions nationales aux mois de septembre et octobre. En revanche nous savons déjà qu'il n'y aura pas de classements des clubs en fin d'année.

 

 

La durée du confinement étant encore indéterminée, nous restons sur les mêmes protocoles d'entraînements vis-à-vis des différentes catégories du club. Nous sommes en lien permanent avec les rameurs pour maintenir le moral des troupes en cette période compliquée.

 

 

Sachez que les efforts fournis par les rameurs et leurs parents pour venir aux entraînements cette saison ne seront pas vains. En effet, si l'activité physique est pratiquée régulièrement* durant le confinement, le niveau des rameurs restera stable, le bénéfice se ressentira la saison prochaine et nous pourrons repartir sur des bonnes bases. C'est pourquoi il est important de se fixer des objectifs personnels et de garder une activité qui sera source de bien-être mental et physique.

 

 

En espérant que cette période se déroule au mieux pour vous.

 

 

Très Sportivement,

 

L'encadrement.

 

 

* Minimum trois séances par semaines à 80% de l'intensité physique maximale.

Le covid-19 compromet la saison des Dragons

Bonjour à tous,

 

Depuis quelques jours, nous savions que la Fédération Française d'aviron a annulé les championnats de France bateaux courts, la coupe de France des Ligues ainsi que les manifestations jusqu'à fin avril.

La période de confinement et de dé-confinement étant indéterminée, la Fédération a annoncé hier que les championnats de France Juniors et séniors sprints, qui devaient se dérouler début juin à Vichy, sont annulés à leur tour et "reportés".

Les régates de Libourne début mai annulées, il faut s'attendre à ce que les rameurs et rameuses ne retrouvent pas le chemin des bassins avant la mi-juin, en étant optimiste.

Nous serons à l'affut de la moindre information concernant un retour à la normale concernant les conditions de reprise de l'entrainement au sein du club, et vous en informerons naturellement. La priorité en cette période difficile étant bien-sûr de respecter les consignes gouvernementales et de préserver la santé et l'intégrité publique.

Nous encourageons les rameurs et rameuses à conserver une activité physique régulière pendant cette période.

Nous tenons également à les féliciter pour leur implication au quotidien.

N'hésitez pas à me contacter pour tous renseignements à l'adresse mail : antoinedeleau.snbergerac@orange.fr

 

Très sportivement,

 

Antoine Deleau

Les sélections nationales en ligne de mire

Le dimanche 8 mars se sont déroulés aux quatre coins de la France les têtes de rivières nationale, première étape de la sélection nationale et régionales. Voici les résultats des dragons.

 

 

A Caen les meilleurs séniors Français étaient convoqués pour s’affronter et se jauger. Les Bergeracois briguant des places en équipes de France ont eu fort à faire sur le bassin normand agité par le vent.

 


En 2- barreur Sénior homme, Téo Rayet auteur d'une belle performance avec son équipier d'Aix les Bains se classe 6ème. Les deux compères valident leur progression et semblent en bonne voie pour être performants !

 


Antoine Perdigal, tout jeune sénior prend la 16ème place, il est associé à Victor Tolstonlam (Aviron Toulousain). Des résultats encourageants.

 

A noter que ces deux équipages sont des espoirs -23 ans.

 

 

Nicolas Stender nouvellement associé à Robinson Doumic (Verdun) se classe 13ème. Nicolas était auparavant appairé avec Franck Solforosi (Lyon), médaillé de bronze aux Jeux Olympiques de Rio, mais blessé au dos celui-ci a dû mettre un terme à sa carrière.

 

 

De son côté Mathieu Duvignacq (-23 ans) sur le retour se classe 23ème en skiff poids légers. Une course folle dans laquelle la hiérarchie nationale fût complétement chamboulée ! Affaire à suivre.

 

 

Les autres rameurs du club avaient quant à eux rendez-vous sur le bassin des Dagueys à Libourne pour un format exceptionnel de tête de rivière. En effet, le Lot étant en crue la compétition n’a pas pu se faire sur le traditionnel parcours de Sainte-Livrade-sur-Lot. C’est donc sur une épreuve en allers et retours (3x2000 m) que les rameurs aquitains et occitans se sont affrontés.

 

Chez les juniors hommes la paire Gilbert / Debest se classe deuxième et réalise une belle performance en se rapprochant des Toulousains (meilleurs Français dans cette discipline).

 

 

Chez les skiffeurs juniors hommes Caillet A se classe 7ème, Roux 11ème, et Feltrin 14ème.

 

En skiff junior femme Liz Delbos confirme ses progrès et se classe 4ème.

 

 

Chez les séniors hommes, Hadrien Godé et Quentin Stender prennent la première place d’une épreuve du deux sans barreur sans grande concurrence. Les deux champions de France 2019 en quatre barré (Godé, Rayet, Stender Q, Stender N, Crespy) retrouvent leurs sensations après un hiver tranquille.

 

 

En skiff homme, Vincent Millot remporte l’épreuve et Quentin Lauriou prend la troisième place. Chez les poids légers, Nicolas Delage prend la deuxième place et attend avec impatience l’épreuve en deux sans barreur avec son coéquipier Simon Bouchez.

 

 

Enfin, la journée était animée par des courses en bateaux longs chez les jeunes, ainsi les cadettes ont pu s’aligner en huit et découvrir la rigueur de l’épreuve. Puis les benjamins et minimes se sont affrontés sur la distance de 2000 m en huit et en quatre, épreuve comptant pour le championnat national jeunes.

 

Les prochains rendez-vous sont les championnats de ligue J16 en bateaux courts le dimanche 15 mars, et les championnats inter-régionaux juniors/séniors en bateaux courts, qualifications pour les championnats de France, les 21 et 22 mars à Cazaubon (Gers).

 

 

 

A.D.

Challenge Nouvelle-Aquitaine

Les jeunes performants pour la première régate 2020.

Le dimanche 16 février, 70 rameurs du Sport Nautique de Bergerac ont participé au challenge Nouvelle-Aquitaine à Bordeaux-Lac (33).

 

Les jeunes de l’école d’aviron du Sport Nautique de Bergerac ont réalisé une belle démonstration avec l’équipage du huit benjamines, qui remporte sa course, et les équipages en quatre, qui terminent premier et deuxième.

Les minimes quant à eux remportent les courses en quatre filles et quatre garçons.

 

 

De leurs côtés les cadets et cadettes sont pour le moment un peu moins en réussite, les groupes en construction sont en progrès mais manquent d’expérience.

 

 

Les juniors et séniors étaient présents. Cette compétition a constitué le premier état des lieux pour les séniors du club, sans les hommes du quatre barré Champion de France en 2019, qui étaient retenus sur leurs Pôles d’entrainements. Le huit séniors hommes répond présent et remporte sa course devant Libourne et l’équipage juniors du SNB. Le double séniores femmes se classe second dans une course très disputée.

 

 

Prochain rendez-vous lors de la compétition longue distance le 8 mars, épreuve préparatoire pour les championnats de France Bateaux courts.

 

Championnats du Monde et de France indoor

Les 7 et 8 février ce sont déroulés les championnats du monde et de France indoor au stade Pierre de Coubertin à Paris. Uzbekistan, Ukraine, Egypte, Etats-Unis ou encore l’armée britannique… Ce ne sont pas moins de 3200 athlètes du monde entier qui sont venus s’affronter dans la capitale. Et le spectacle était au rendez-vous : lumières, musique, commentateurs… Un véritable show à l’américaine auquel 12 bergeracois ont participé.

 

 

Ce sont les masters qui ont ouvert le bal, avec dans la première course Nathalie Villechenaud qui, suite à une grippe, prend la cinquième place mondiale et remporte la médaille d’argent au niveau national des poids légers femmes masters 40-49 ans. Dans la même course, Christian Crespy, qui courait chez les poids légers hommes masters 50-54 ans, prend la 23ème place internationale et la 14ème place nationale. Chez les masters hommes 40-49 ans, nous retrouvions Vincent Martin et Sébastien Delbos pour leur première participation à ce genre d’évènement. Vincent Martin prend la 64ème place internationale, soit la 34ème place nationale, et Sébastien Delbos quant à lui prend la 51ème place nationale et la 91ème place mondiale.

 

 

Chez les juniors, Liz Delbos prend la 59ème place mondiale, la 51ème place nationale et la 27ème place chez les J16. Chez les garçons J18, Antoine Perdigal se classe 11ème au niveau mondial, et prend la 5ème place nationale. Baptiste Debest prend la 77ème place mondiale, et la 66ème place nationale. Alexander Prince prend la 85ème place du classement mondial, et la 73ème du classement français. Tobias Gilbert prend la 108ème place du classement général et la 96ème nationale. Guillaume Feltrin prend quant à lui la 129ème place mondiale et la 116ème place nationale.

 

 

Chez les hommes moins de 23 ans, Nicolas Stender prend la 7ème place, ex-aequo avec le rameur de Nancy Benjamin Haguenauer, et se classe 4ème au niveau national. Téo Rayet prend la 14ème place mondiale et la 9ème place française.

 

Championnats régionaux d'aviron indoor

Samedi à St Jean D’Illac se déroulaient les championnats d’Aquitaine d’ergomètre. A cette occasion les rameurs de Bergerac ont pu se confronter sur la distance unique de 2000 mètres aux rameurs régionaux.

Dans la Catégorie J16 Femmes les nombreuses bergeracoises avaient fait le déplacement dont Léa Jarjanette qui se classe seconde avec un chrono de 7 minutes 46 secondes. Inès Blondel, jeune cadette (15 ans) se classe 8ème en 8 minutes.

Chez les hommes J16, Aaron Vitrac (15 ans) se classe 5ème avec un temps prometteur de 6 min 53 secondes.

Les J18 hommes et femmes dans l’ensemble n’ont pas confirmés le travail fourni en ce début d’année. En effet seul Baptiste Debest tire son épingle du jeu et monte sur la troisième marche du podium en 6 minutes 29 secondes ce qui valide une place en stage national la semaine prochaine. Liz Delbos se classe cinquième chez les jeunes femmes 18 ans avec un temps encourageant de 7 minutes 46 secondes.

Du coté des séniors, Téo Rayet (pôle France de Lyon) bat son record personnel, réalise la quatrième performance nationale chez les espoirs mais bute sur la barre des 6 minutes en réalisant 6 min 00 secs et 5 dixièmes, il valide néanmoins son billet pour le stage national la semaine prochaine. A Toulouse et dans la même catégorie espoirs Antoine Perdigal se classe 3ème en 6 min 16 et Matthieu Duvignacq en espoir Poids Légers prend la seconde place en 6 min 24.

Nathalie Villechenaud (championne du monde 2019 moins de 50 ans poids légères) commence bien sa saison indoor en se classant seconde derrière une rameuse internationale toute catégorie.

Un second rendez-vous en salle est programmé au mois de février, les Championnats de France et du monde indoor se dérouleront à Paris (Courbertin). Les rameurs auront une seconde occasion de prouver leurs valeurs individuelles.

 

Vous pourrez trouver plus de photos sur la page facebook Studio Lataste.

Une bonne saison pour le SNB !

Classement des clubs

Le classement national des clubs Français d’aviron est paru cette semaine.

 

A l’image de ses hommes forts, le Sport Nautique de Bergerac progresse de 5 places et se hisse au 11ème rang français du classement général. En effet, durant cette longue saison de 13 mois, après avoir écumé les bassins nationaux et gagnés trois titres de Champions de France les Dragons ont performé tant chez les jeunes (5ème club Français) que chez les juniors (9ème club Français) et les séniors hommes (5ème club Français). Le groupe des filles en pleine reconstruction valide sa progression et fait un bon de 20 places en se classant 25ème ! Chez les séniors hommes et femmes confondus, le SNB grimpe d'une marche dans le classement et prend la 10ème place. Chez les J16, le SNB perd quelques places et se classe 33ème.

 

Les internationaux ne se sont pas en reste : pas moins de 6 rameurs étaient sélectionnés dans les équipes de Frances -23 ans et juniors. Ainsi, le club et ses bénévoles prouvent une fois de plus la qualité de formation des jeunes rameurs.

 

La saison 2020 est déjà lancée, et le SNB espère garder le même rythme !

Bravo les dragons pour cette belle saison !

Bon début de saison pour les Dragons

Ce dimanche 13 octobre 2019 les rameurs du Sport Nautique de Bergerac se sont déplacé à Marmande pour la première compétition de la saison. Pour cette occasion, soixante dix jeunes ont fait le déplacement et ont brillé en remportant pas moins de 8 victoires.

 

Les benjamins ont ouvert le bal en faisant le doublé dans la course des yolettes (équipages Cesbron et Vitrac) et en doubles (équipages Turcky/Pervieux et El Karma/Radi).

Les minimes garçons les ont imités peu de temps après, en quatre avec barreur, en prenant les deux premières places (équipages Coldeboeuf et Martin).

Les doubles juniors filles (équipages Delbos/Lahorgue et Chort/Nadales) ainsi que les quatre juniors/séniors hommes ont également réalisé le doublé.

Le double minimes filles (Bry C/Jarjanette C)et le double cadettes (Naissant T/Jarjanette L) remportent également leurs finales.

 

Ces résultats sont donc très prometteurs pour la suite de saison, dont la prochaine échéance sera le week-end prochain à Bordeaux-Lac !

 

Championnats de France Sprints

De l'argent et du bronze pour les dragons

Les 28 et 29 septembre dernier, à Gérardmer, se déroulaient les championnats de France sprints d’aviron. Pour l’occasion le Sport Nautique de Bergerac avait aligné 4 embarcations dans les disciplines reines du huit avec barreur. Le huit séniors hommes constitué de Hadrien Godé, Quentin Stender, Guillaume Ampe, Stany Delayre, Quentin Lauriou, David Dulac et les internationaux Téo Rayet, Nicolas Stender et Louis Crespy (barreur) revient avec une médaille d’argent autour du cou. En effet, sur le bassin Jurassien exigeant, les hommes forts ont couru la finale «au métier» et terminent à moins de 2 secondes des intouchables Verdunois.

 

Une heure et quart plus tard, le huit séniors mixte, emmené par les mêmes Hadrien Godé et Quentin Stender, complété par Liz Delbos, Nathalie Villechenaud, Enéa Denoix, Tiffany Nadales et renforcé par les autres jeunes internationaux Adrien Auber et Antoine Perdigal toujours barré par Louis Crespy, décroche une magnifique médaille de bronze après une course spectaculaire et pleine de suspense.

 

De leurs cotés les jeunes équipages de Juniors hommes et femmes en quête d’expériences au haut niveau n’ont pu défendre leurs chances en finale C pour les hommes et en finale D pour les femmes, en raison de conditions climatiques trop dangereuses pour faire ramer ces finales de classement. La saison 2019 se termine bien pour le Sport Nautique de Bergerac qui se déplacera avec ses jeunes Dragons dès le dimanche 13 octobre à Marmande pour les premières régates de l’année 2020.

Pour vous inscrire

Pour pouvoir vous inscrire cette année, qu'il s'agisse d'une nouvelle inscription ou d'un renouvellement de licence, vous devez impérativement remplir ces documents.

L'attestation est différente selon si vous êtes majeur ou mineur, ne vous trompez donc pas de formulaire.

Si ces documents ne sont pas fournis, vous ne pourrez pas pratiquer notre fabuleux sport... Vous rateriez tellement de belles aventures !

 

Vous trouverez également les tarifs pour cette année.

 

Nous vous souhaitons une belle saison !

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C'est repartir pour une nouvelle saison !

Pour démarrer cette nouvelle saison, le Sport Nautique de Bergerac vous donne rendez-vous le mercredi 4 septembre.


L'équipe encadrante vous attend à 13h45 pour les catégories suivantes :

  • Les jeunes de 10 à 12 ans (nés en 2008 et après)
  • Les jeunes de 13 à 14 ans (nés en 2007/2006)
  • Les jeunes de 15 à 16 ans (nés en 2005/2004)

Puis à 16h pour les jeunes de 17 à 18 ans (nés en 2003/2002) ainsi que pour les jeunes du Pôle Espoir Nouvelle Aquitaine.

 

Nous vous attendons nombreux pour cette rentrée sportive.

 

Vous pourrez retirer les papiers d'inscription le jour-même. Ils sont à rapporter impérativement dans les 3 semaines (la semaine suivante pour les anciens).

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Challenge scolaire

Challenge scolaire 2019 : Une lettre qui fait chaud au cœur

Le 12 juin dernier s’est déroulé la 13ème édition du Challenge scolaire qui a réuni cette année huit classes de CM2 soit environ 210 élèves. Après avoir suivi un cycle d’apprentissage de 4 séances, ils se sont retrouvés au club pour relever le défi sur l’eau en yolette et sur l’ergomètre. A ce jeu, c’est l’école René Desmaison qui remporte le trophée 2019. De retour en classe, ils ont rédigé une jolie lettre de remerciements adressée à tous les intervenants du club : entraîneurs, bénévoles et jeunes rameurs.

 

Chers organisateurs du SNB

 

Nous vous remercions de nous avoir si bien accueillis pour le challenge. Nous avons remarqué qu'il y avait beaucoup de bénévoles pour s'occuper de nous. Nous voulons remercier particulièrement Alix pour son aide précieuse sur les yolettes. Elle a été une très bonne barreuse et nous a beaucoup encouragés, même sous l'averse.

 

Notre activité préférée a été la course en yolette l'après-midi.

 

Pendant les 4 séances d'entraînement du mois de mai, nous avons eu la chance de rencontrer Stany, Antoine, Youri et son chien ! Si nous avons si bien ramé hier, c'est grâce à leurs conseils. Nous leur sommes reconnaissants. Certains d'entre nous ont envie de s'inscrire à la rentrée.

 

Bien sûr, nous avons adoré la remise des récompenses hier. Nous sommes fiers et heureux d'avoir remportés le trophée.

 

Nous nous souviendrons toujours de cette journée.

 

Bien amicalement

 

Sara, Précillia, Jad, Félix, Aaron B, Cyrielle, Etienne, Camille, Angel, Marion, Noûr, Jules, Aaron J, Carlos, Zoé, Marie, Laurélia, Stéfi, Julie, Agathe, Yanis, Yaël, Fleur, Sarah, Alice-Lou, Lénaïc.

 

Championnat national jeunes

Les 29 et 30 juin derniers se sont déroulés les championnats de France d’aviron Minimes à Mantes-La-Jolie.

 

 

Nous sommes partis le Jeudi afin de pouvoir s’installer les premiers sur le bassin et choisir la place la plus stratégique (avec de l’ombre et pas trop loin de l’embarquement). Sur le trajet nous avons pu remercier mille fois l’inventeur de la clim car la chaleur extérieure était accablante.

 

Après huit heures de route et quelques pauses nous voilà arrivés (merci Patrick et Coeuillou). Nous partons direct au camping pour installer le camp et se mettre à l’ombre. A 18h, petit footing pour dégourdir les jambes, puis douche repas et au lit, car le lendemain on doit aller ramer à la fraiche.

 

Le Vendredi matin petite séance bateau pour tout le groupe à 8h. Puis retour au camping pour rester au frais. Les courses du lendemain débutent à 7h et se terminent à 11h (canicule oblige). Donc après le repas du soir vite au lit car Samedi premier réveil à 4h50.

 

 

Le Samedi matin réveil à 4h50, la pression commence à monter à l’approche des premières courses. Si on veut se qualifier pour les demies-finales du dimanche il faut faire dans les douze premiers temps.

 

Ça passe pour le 4X+ homme composé de Arthur Feltrin - Luigy Coldeboeuf- Aaron Vitrac et Maxime Berguin Noirant barré par Roxane Chauvin qui décroche le deuxième temps.

 

Le 8X+ femme aussi se qualifie avec le cinquième temps, il est composé de

 

Morgane Sorbier - Emmie Bry - Celia Bry - Dora Collin - Chloé Jarjarnette - Lili Introvigne - Dora Aniello - Maelane Rognerud barré par Louis Crespy.

 

Le 8X+ homme lui décroche le 21éme temps et part pour les demies finales C/D, il est composé de Noa Dewost - Briac Rognerud - Tristan Demesteere - Tom Martin - Thomas Bru - Axel Pebayle - Colin Lewin - Sam Castaldo barré par Louis Crespy.

 

Le 4X+ femme décroche quant à lui le 27eme temps qui les envoie en demies finales E/F. Il est composé de Amélie Naissant - Hannah Isherwood - Ines Blondel - Lana Delbos barré par Anaelle Auguste.

 

Retour au camping après les courses pour le repas (merci aux parents pour les bons petits plats) et se reposer car le lendemain on remet ça.

 

Le Dimanche matin réveil 4h50 pour les demies finales. Le 4X+ homme gagne avec la manière et décroche leur place dans la grande finale avec le premier temps.

 

Le 8X+ femme finit deuxième de sa demie et décroche aussi leur place dans la grande finale.

 

Le 8X+ homme finit quatrième et part pour une finale D.

 

Le 4X+ femme gagne leur demie et part pour la finale E.

 

 

Le Dimanche après-midi l’heure de la dernière bataille approche, nos dragons sont prêts à en découdre dans des courses à couper le souffle. Le 8X+ homme finit troisième de la finale D après une course de folie (à fond du début à la fin.

 

Le 4X+ femme finit quatrième de la finale E après un beau finish.

 

Le 8X+ femme termine cinquième de la grande finale dans une course de fou, une bataille intense car les bateaux terminent sur le fil de la ligne d’arrivée avec seulement quatre secondes d’écart entre le premier et le cinquième.

 

Le 4X+ homme font la totalité de la course derrière le bateau de Soissons la victoire est presque impossible et pourtant dans les deux cent derniers mètres après un enlevage (finish en aviron) titanesque, ils remontent leur adversaire et le dépasse .... Ça y est LE TITRE est là !!!! Champion de France. Le dernier titre de champion de France minime garçon du club datait de 2008 et onze ans après les Dragons s’imposent.

 

BRAVO LES DRAGONS

 

Article écrit par Youri Choffart

 

Championnats de France Master

Une première édition réussie pour le SNB !

Le week-end des 22 et 23 juin 2019 s’est déroulée la première édition des championnats de France master. Pour l’occasion, le Sport Nautique de Bergerac avait engagé trois embarcations : un 4 sans barreur homme, un 4 de couple mixte et double mixte. Pour participer à ce championnat, chaque rameur doit être âgé de plus de 27 ans, et la moyenne d’âge de l’équipage déterminera la catégorie de course.

 

Le 4x Mixte courait dans la catégorie B, c’est-à-dire que la moyenne d’âge du bateau est comprise entre 36 et 43 ans. Composé de Nathalie Villechenaud, Christian Crespy, Céline Caminade et Louis-Pierre de Vaugelas, cet équipage va chercher un podium et remporte une belle médaille de bronze.

 

Le 2x Mixte, composé de Nathalie Villechenaud et Christian Crespy, courrait dans la catégorie C, entre 43 et 50 ans. Ce duo, habitué à ramer ensemble, va chercher une belle quatrième place après une course relevée.

 

Le 4- hommes, composé de Vincent Ménégon, Christian Morin, Albin Bial et Frederic Dejos, dans la catégorie C également, vient chercher une 15ème place. Une belle performance pour ces loisirs peu habitués à la compétition.

 

Championnats de Zone

Ce weekend sur le plan d’eau du Lac de Causse à coté de Brive, les Dragons du Sport Nautique de Bergerac ont disputé les championnats de zone d’aviron.

 

Les hostilités débutent le samedi avec les plus jeunes (13-14 ans). Les filles en skiff et double et les garçons  en quatre et huit.

 

Chez les filles le double composé des sœurs Célia et Emmie Bry remporte le titre de champion de zone haut la main avec huit secondes d’avance, écrasant  ainsi la concurrence.

Le double composé de Dora Collin et Chloé Betaille fini 5éme, celui de Morgane Sorbier et Lili Introvigne termine  9éme, celui d’Amélie Naissant et  Hannah Isherwood fini quant à lui 21éme .

Le skiff J13  (Chloé Jarjanette) remporte la 3eme place avec un joli combat, elle est suivi de Dora Aniello qui termine le championnat 17eme.

Enfin Ines Blondel termine 12eme en Skiff J14.

 

Pour les garçons, le quatre barré composé de Arthur Feltrin , Luigy Coldeboeuf , Aaron Vitrac et Maxime Berguin barré par Lana Delbos remporte le titre de champion de zone avec six secondes d’avance par un très beau finish .

Le huit composé de Noa Dewost , Briac Rognerud , Tom Martin , Tristan Demesteere , Thomas Bru Bragagnolo , Sam Castaldo , Axel Pebayle et Colin Lewin barré par Cecilia Chort termine 6ème de la grande finale .

 

Pour les courses du Dimanche les filles passèrent en quatre et huit et les garçon en double et skiff.

 

Les courses du dimanche commencèrent avec la victoire du skiff J13 composé de Luigy Coldeboeuf  qui, avec douze secondes d’avance, termine sur la première marche du podium.

Le skiffeur  J14 Aaron Vitrac remporte lui aussi sa finale avec quatre secondes d’avance et conserve ainsi son titre de champion de zone remporté l’année dernière.

Thomas Bru Bragagnolo termine 13eme.

 

Chez les doubles Arthur Feltrin et Maxime Berguin terminent 8ème après une course très serrée, suivi de Noa Dewost et Briac Rognerud 21eme, Colin Lewin et Tom Martin terminent quant à eux 27eme.

 

Pour nos jeunes filles le quatre barré composé de Dora Aniello , Ines Blondel , Hannah Isherwood , Amélie Naissant barré par Sam Castaldo termine ce championnat à la 7ème place .

Le huit quant à lui remporte le titre il est composé de Morgane Sorbier , Celia Bry , Emmie Bry , Dora Collin , Chloe Betaille , Chloé Jarjanette , Lili Introvigne , Maelane Rognerud barré par Lana Delbos.

 

Pour les plus grands le double garçon avec Guillaume Roux et Jules Mazouaud termine 5eme, place qui malheureusement ne leur permettra pas de se qualifier pour les championnats de France.

Les filles terminent deuxième en huit et gagnent leur place pour les championnats de France, le bateau est composé de Cecilia Chort , Tiffany Nadale , Enea Denoix , Alix Lahorgue , Louise Auber, Liz Delbos , Taina Naissant, Léa Jarjanette et baré par Lana Delbos.

 

 

 

Championnats de France bateaux courts

Ce week-end se sont déroulés à Cazaubon les championnats de France bateaux courts sur le lac de l’Uby, à Cazaubon (Gers). 8 embarcations bergeracoises y étaient qualifiées.Ce championnat est l'épreuve de sélection pour l'équipe de France.

 

 

Chez les J18, David Dulac a trouvé sa place en 1x. Après un beau parcours, il prend la 4ème place de la finale C et se classe donc 16ème au général.

 

Deux 2-J18H du SNB ont participé à ces championnats, et se sont tous les deux glissés en finale B. La paire Adrien Auber/Antoine Perdigal a remporté cette petite finale et prend donc la 7ème place du classement générale. Baptiste Debest et Tobias Gilbert prennent quant à eux la 4ème place de cette finale et donc la 10ème place du classement.

 

Chez les séniores femmes, Nathalie Villechenaud s’est alignée en 1xSFPL. Après un beau parcours, elle finit 2ème de la finale C et donc 14ème au classement général.

 

Chez les 2-SH, trois embarcations comptaient des bergeracois à leur bord. Guillaume Ampe, associé à Arnaud Petitjean (US Toul), va chercher la 5ème place de la finale C et se classe donc 17ème. Deux équipages bergeracois ont atteint la finale B : Téo Rayet et Nicolas Stender, déjà associés l’an passé, prennent la 2ème place de cette finale (8ème au général), et Hadrien Godé et Quentin Stender, associés pour la première année, prennent la 6ème place de la petite finale (12ème place au général).

 

 

 

Suite à leur résultat de ce week-end, Téo Rayet et Nicolas Stender sont actuellement en stage à Libourne (33) avec le collectif d’équipe de France : ils effectuent des piges pour déterminer les équipages pour la saison internationale.

 

Adrien Auber et Antoine Perdigal sont eux sélectionnés en équipe de France Junior et disputeront les championnats d’Europe.

 

Deux titres de champions de zone !

Ce week-end se sont déroulés les championnats de zone bateaux courts (1x et 2-). Ce ne sont pas moins de 13 embarcations avec des bergeracois qui ont tenté de se qualifier pour les championnats de France bateaux courts.

 

La majorité des dragons s’est rendue au lac de L’Uby (Cazaubon, Gers) pour tenter de décrocher leur place. Hadrien Godé et Quentin Stender se qualifie avec à la clé, un titre de champion de zone en deux sans barreur toutes catégories.

 

Nathalie Villechenaud prend la deuxième place de la compétition chez skiff séniore femme poids légère et sera donc présente à Cazaubon pour les championnats de France.

 

Quentin Lauriou, quant à lui, prend la 5ème place en skiff sénior homme toutes catégories.

 

Chez les deux sans-barreurs J18 hommes, Adrien Auber et Antoine Perdigal se classent 2ème, et Tobias Gilbert et Baptiste Debest prennent la 4ème place. Ces deux embarcations sont qualifiées pour la suite. Quant à la paire Nicolas Jeantou et Thibault Caillet vont arracher la 9ème place.

 

Chez les skiffs J18 hommes, catégorie extrêmement relevée, David Dulac prend la 5ème place. Alexander Prince et Augustin Caillet se classent respectivement 18ème et 21ème.

 

Chez les femmes J18 en deux sans-barreur, Lisa Rousseaux, associée à Zoé Desgorges (CSNBrive) doivent se contenter d’une demi-finale pour des raisons de santé.

 

Dans les autres zones de la France, Guillaume Ampe décroche le titre de champion de Zone à Gravelines et se qualifient également pour les championnats de France. Il rejoint ainsi les dragons qualifiés à Cazaubon ainsi que Téo Rayet et Nicolas Stender (en 2-) et Mathieu Duvignacq (1xPL), déjà qualifiés.

 

Rendez-vous du 12 au 14 avril au lac de l’Uby à Cazaubon (Gers) pour venir encourager nos dragons qui vont défendre les couleurs du SNB aux championnats de France bateaux courts, et tenter de décrocher une place en équipe de France.

 

Comme à la maison au SNB

Mélanie Saubion est ce qu’on pourrait appeler une jeune sociétaire : à 19 ans, cela ne fait qu’un peu plus de 2 ans qu’elle pratique l’aviron. Elle a découvert le Sport Nautique de Bergerac grâce à ses copines de classe et aussi à ses cours de sport au lycée Maine de Biran à Bergerac, qui permet de pratiquer ce sport pour le bac. Aujourd’hui étudiante en STAPS à Toulouse, les entraînements de cette jeune sportive sont un peu plus compliqués. Cours, emploi étudiant dans une grande enseigne de sport pour financer ses études, vie associative au sein de son université : l’emploi du temps de Mélanie est assez chargé. « Les entraînements sur l’eau sont assez rares, explique-t-elle. Avec toutes mes obligations, mes journées commencent relativement tôt et finissent assez tard. » Mais tous les moyens sont bons pour s’entraîner, et le moindre petit avantage rend la pratique plus facile. « J’ai un ergomètre…sur mon balcon ! En dehors de la saison hivernal, on a droit a de jolis petits couchés de soleil, alors c’est plus agréable, s’amuse-t-elle.  Mais l’hiver, les programmes longs sur la machine paraissent très longs… » Elle arrive parfois à se rendre au Toulouse Université Club, où elle peut emprunter un bateau pour monter sur l’eau. Mais le plus souvent, elle va parfois nager dans la piscine municipale la plus proche, et « les footings le soir dans les ruelles sombres font aussi partie de [ses] entraînements », rie-t-elle.

 

Le SNB : une deuxième maison

 

Malgré son jeune âge dans la structure, elle est très attachée au SNB : « C’est un peu comme une deuxième maison quand j’y vais. Je me sens à ma place » En effet, habitant à 45 minutes du club, il n’est pas rare pour Mélanie de dormir sur place. Ce qui la motive dans la pratique de ce sport c’est d’aller chercher le meilleur d’elle-même. Et aussi de pouvoir monter un projet sympa avec les filles pour les championnats de France bateaux longs qui se dérouleront au début du mois de juin à Bourges (Cher). Et quand on lui demande ce qu’elle aimerait dire aux plus jeunes, elle répond : « Continuez votre aventure et n’abandonnez surtout pas ! Il y aura encore plein de belles choses à vivre ici, et je suis sûre qu’un jour ou l’autre vous porterez haut et loin les couleurs du club ! »

 

La tête et les bras

Etudes supérieures et sport de haut niveau ne sont pas incompatibles, bien au contraire. C’est ce que nous montre Hadrien Godé, 22 ans : il est étudiant à l’IPSA (école d’ingénieur de l’air et de l’espace) et a porté les couleurs de l’équipe de France lors des derniers championnats du monde des moins de 23 ans. Il a également remporté l’or des Championnats d’Europe Juniors en 2014. Et même lors de ses études à l’étranger, cet élève ingénieur a pu continuer à pratiquer sa passion : depuis près de six mois il at élu domicile à Manchester (Angleterre) et s’entraîne au Agecroft rowing club. Hadrien fait partie de ceux dont la motivation ne faiblit jamais : malgré un problème de dos, il a quand même pu prendre la place de chef de nage du huit séniors hommes lors du dernier championnat de France Bateaux Longs. « Une prothèse et c’est reparti », blague-t-il.

 

Un huit de rêve

Hadrien fait aujourd’hui partie du Sport Nautique de Bergerac depuis 4 ans, il était auparavant licencié au Rowing Club de Port-Marly. « Maintenant que je vis à Toulouse, je voulais être dans un club du Sud-Ouest qui partage mes envies de faire des médailles en huit, se rappelle Hadrien, Bergerac me semblait évident. » Pour cette saison, l’objectif principal de cet élève ingénieur est de changer la couleur de la médaille obtenue en huit en juin 2018 (le bronze). Il espère aussi courir la Henley Royal Regatta avec le club de Manchester. Hadrien se rend compte que le SNB est un club d’excellence : « Les jeunes dragons ont de la chance d’être à Bergerac, estime-t-il. Il faut qu’ils continuent à s’entraîner pour prendre la relève. J’aimerais vraiment que le huit bergeracois traverse les générations de rameurs. »

Tête de rivière régionale

La saison bateaux courts bats son plein !

C’est sous une pluie soutenue que s’est déroulée, dimanche 10 mars, la tête de rivière régionale à Sainte-Livrade-sur-Lot (Lot-et-Garonne). Pour cette compétition dominicale, les participants sont engagés en bateaux courts, soit skiff (1x) ou deux sans barreur (2-), sur une distance de 6 000 mètres. Ce ne sont pas moins de 16 embarcations bergeracoises qui ont le départ de ce parcours contre la montre.

 

Chez les J16 femmes en 2-, Enéa Denoix et Tiffany Nadales prennent la 2ème place, tandis que Alix Lahorgue et Louise Auber se classent 5ème.

 

Cécilia Chort prend la deuxième place du classement en 1x J16 F, suivie de près par Liz Delbos (3ème). Taïna Naissant et Léa Jarjanette se classent, quant à elles, respectivement 5ème et 8ème.

 

Toujours en J16, mais chez les garçons cette fois, Jules Mazouaud et Guillaume Roux prennent la 7ème et la 8ème place suite à ce parcours contre la montre.

 

Chez les J18 femmes, Lisa Rousseaux, associée à Zoé Desgorges (CSN Brive) en 2-, prennent la 5ème place.

 

Chez les garçons, Antoine Perdigal et Adrien Auber prennent la 2ème place du classement en 2-. Tobias Gilbert et Baptiste Debest se classent 4ème, tandis que Nicolas Jeantou et Thibault Caillet finissent 7ème.

 

En 1x J18H, David Dulac termine 4ème, Alexander Prince 10ème et Augustin Caillet 16ème.

 

Chez les séniores femmes, Nathalie Villechenaud prend la deuxième place du classement en 1xPL, et la 4ème place du classement général.

 

 

 

Certains séniors hommes s’entraînant sur les pôles France se sont rendus à Marignane quant à eux à Marignane (13). Téo Rayet et Nicolas Stender, associés en 2-, prennent la 13ème place du classement générale, tandis que Hadrien Godé et Quentin Stender, également associés en 2-, se classent 15ème.

 

Une amoureuse du sport

Emma Guillebot est une jeune séniore, elle n’a que 19 ans, mais également une jeune rameuse : elle ne pratique l’aviron que depuis 2 ans. Elle a découvert ce sport grâce au lycée : pour le bac, les élèves du lycée Maine de Biran à Bergerac ont la possibilité de choisir ce sport (associé à d’autres) pour l’épreuve d’EPS. Cette ancienne footballeuse est passionnée de sport : étudiante en STAPS, elle pratique donc un peu de foot, de natation, de crossfit et bien d’autres activités sportives. Malgré cet amour de l’effort, il est un peu compliqué pour Emma de réussir à s’entraîner : technicienne vendeuse pour une grand enseigne, cette boulimique de sport doit donc adapter son emploi du temps. De plus, elle doit également jongler avec les blessures qui peuvent perturber son organisation. Mais toutes ces difficultés n’entachent en rien sa motivation : « S’entraîner seule n’est pas facile, avoue Emma. Mais savoir que toutes les autres le font aussi et se donnent les moyens pour le bateau, ça donne du courage. En général, je n’ai pas de problème de motivation pour un entraînement, le sport que je pratique m’apporte énormément. » Faisant ses études à Toulouse, Emma s’entraîne au Toulouse Université Club pour ce qui est de monter en bateau, ou sur son balcon : elle y a son ergomètre.

 

Une deuxième famille

 

Mais dès qu’elle le peut, la jeune fille revient au Sport Nautique de Bergerac : les vacances, les longs week-ends sont pour elle l’occasion de monter sur l’eau avec ses coéquipières. « Je viens souvent au club pour y passer des journées, aider à régler des bateaux, assister aux entraînements, …ou juste passer du temps. » Car pour Emma comme pour beaucoup d’autres, le SNB est comme une deuxième famille, et elle espère y apporter ce qu’elle peut, en plus de continuer à progresser et apprendre au sein de cette structure. « On y apprend un savoir être et des valeurs qui sont importantes dans la vie sportive et personnelle. » Emma prend aussi le temps d’aider les plus jeunes et d’échanger avec eux : « J’aimerais leur faire comprendre qu’il ne faut rien lâcher, s’entraîner en étant rigoureux et sérieux. Il faut aussi prendre du plaisir, c’est vraiment important. » Emma sait qu’au club c’est comme une grande famille et que chacun peut s’appuyer les uns sur les autres pour grandir et porter haut les couleurs du SNB.

 

Tombée dedans quand elle était petite

Lisa Rousseaux est une enfant de l’aviron. En effet, toute sa famille est un jour passée par le club : on peut dire qu’elle a ce sport dans le sang. Et elle est au Sport Nautique de Bergerac comme chez elle. Déjà, quand elle n’avait que 6 ans, on la voyait très souvent sur les bateaux moteurs pour suivre les entraînements avec son père, ou en compétition où elle passait beaucoup de temps avec les plus grands. Aujourd’hui, elle parcourt les travées en tant que rameuse, et ce depuis 6 ans. Pas facile d’allier sport et études : actuellement en Terminale S-Sciences de la Vie et de la Terre, la jeune fille de 17 ans parvient tout de même à s’entraîner 5 à 6 fois par semaine. « Mais une fois l’organisation trouvée, tout est possible, explique-t-elle. Par moment, c’est la fatigue qui est difficile à gérer. En plus, l’aviron est un sport d’extérieur, ce n’est pas forcément agréable de ramer dans le froid et sous la pluie. »

 

Construire un groupe féminin

 

Lisa est juniore deuxième année, et elle compte déjà plusieurs championnats séniors à son actif. Elle a commencé en barrant le huit séniors hommes du club sur plusieurs championnats. Et en tant que rameuse également. L’année dernière, Lisa est montée dans le huit séniores femmes pour les championnats de France. Malgré ses surclassements, elle continue à se donner des objectifs. « En tant que juniore 2 le niveau est plus élevé. J’aimerais continuer à progresser. » Mais c’est l’objectif de maintenir un groupe séniores femmes, et de le faire progresser qui motive Lisa : comme les autres filles, elle espère que les plus jeunes dragonnes seront un jour de fières représentantes du SNB au plus haut niveau. « Il faut toujours persévérer et savoir patienter. J’ai toujours entendu dire que le travail finit toujours par payer et qu’il faut garder la tête haute. Un dragon ne renonce jamais ! »

 

Force de caractère

18 ans, et déjà plusieurs sélections en équipe de France à son actif. Après seulement 6 ans d’aviron, Louis Crespy est un barreur phare du Sport Nautique de Bergerac. Lorsqu’il a commencé l’aviron, Louis, en terminale dans la gestion de la nature (GPN), voulait être un rameur. « Mon physique ne me permettait pas d’être dans les meilleurs bateaux, se rappelle-t-il. Mais barrer m’a permis de retrouver la motivation et l’esprit de compétition. » Et en effet, l’esprit de compétition est important pour un barreur de niveau international. En équipe de France Junior, il a mené le huit masculin jusqu’à la quatrième place aux championnats d’Europe. Encore junior, il a été sélectionné chez séniors moins de 23 ans pour barrer le huit aux championnats du Monde. Résultat ? Une huitième place prometteuse.

 

Un véritable couteau-suisse

 

La tâche d’un barreur n’est pas de tout repos : aller droit, analyser la course en temps réel, informer ses rameurs et anticiper les attaques tactiques des adversaires font partie des compétences essentielles d’un bon barreur. En plus de toutes ces capacités, le poids plume qui se trouve en bout de bateau doit faire preuve de caractère pour s’affirmer face à des rameurs qui font souvent partie de l’élite mondiale. Mais sa tâche ne s’arrête pas là : ce chef de bord est un rameur comme un autre, il s’entraîne donc comme tout le monde. Musculation, ergomètre, bateau… Rien ne lui est épargné ! Encore lycéen, Louis ne rencontre donc pas trop de difficultés pour s’entraîner. Et il se donne à fond. Cette année, il espère garder sa place à la barre du huit sénior hommes du SNB, et pourquoi pas aller chercher un titre de champion de France. Il est un exemple de détermination pour les plus jeunes : « Même si physiquement vous êtes moins fort que les autres, il ne faut pas oublier que l’aviron se pratique aussi avec le mental ! »

 

Top Cheffe

Du haut de son mètre 60, Roxane Chauvin est très souvent la patronne à bord d’un bateau. Cette gendarme adjoint volontaire de 21 ans s’est très souvent illustré sur les podiums nationaux et internationaux en tant que barreuse. C’est grâce à Camille Métifet que Roxane s’est rendue pour la première au sein du Sport Nautique de Bergerac, en 2010. Et depuis, elles ont partagé pas mal d’aventures. Dès 2011, notre jeune gendarme participe aux championnats de France minimes (en tant que rameuse) et échoue au pied du podium. Mais dès l’année suivante, son caractère s’impose dans les bateaux : elle va chercher le titre de championne de France à la barre du quatre barré cadettes à Vichy, et elle conduit le huit séniore femmes au pied du podium à Mantes-la-Jolie. En 2013, elle prend la barre des bateaux séniors, et les finales et les médailles s’enchaînent : Coupe de France, Championnats de France, Coupe de la Jeunesse…Roxane rentre très souvent médaillée. Mais elle ne fait pas que barrer : lorsqu’elle était juniore, elle a pris place dans le huit séniores femmes sprint en 2015, où elle va chercher la 5ème place avec ses coéquipières. Cette année, elle a participé aux championnats de France séniors en tant que barreuse du huit séniores femmes, mais également en double poids-léger et va chercher la 14ème place avec Emma Guillebot pour leur première association.

 

Force de caractère

 

Mais comment fait-elle pour atteindre ce niveau ? « Il n’y a pas de secret pour être bon, reconnaît-elle. Il faut s’entraîner de façon régulière. » Mais aujourd’hui, il est compliqué pour cette gendarme de s’entraîner : « Avec mes obligations professionnelles, il est difficile de maintenir un bon niveau. L’aviron est un sport difficile, qui demande de l’organisation et des concessions. »  Ergomètre, footings,… Roxane doit attendre 18h30 avant de pouvoir s’entraîner. Une telle détermination demande également une certaine force de caractère. « L’aviron m’a beaucoup apporté dans ma vie personnelle ainsi que professionnelle. J’ai appris grâce à ce sport à apprécier la rigueur et la discipline, à savoir m’adapter, à affronter les difficultés. » Quand Roxane revient à Bergerac, elle passe obligatoirement au club, pour s’entraîner, monter sur un canot avec un entraîneur… C’est pour elle une façon de se ressourcer. Elle apprécie tout particulièrement voir les jeunes progresser : « J’ai envie de leur dire de croire en leurs objectifs, de se donner les moyens pour y arriver. Le travail finit toujours par payer. Il n’y a rien de plus savoureux que de remporter un titre de champion de France. »

 

« Le SNB m’a tout apporté »

1,83 m pour 70 kilos. Mathieu Duvignacq est un petit gabarit, ce qu’on appelle un poids léger : il fait partie de ceux qui doivent surveiller son poids pour les compétitions. Cet étudiant en STAPS à Toulouse de 20 ans compte à son actif 5 médailles en championnats de France et une sélection en équipe de France des moins de 23 ans. Même si « les réveils matinaux, les ampoules, les nombreux entraînements et les blessures au dos » peuvent parfois rendre la pratique difficile, rien ne vient entacher la motivation de Mathieu. « Le fait de savoir qu’il y a de probables résultats à la fin de l’année me motivent pour m’entraîner. » Et en effet, cette année l’étudiant espère être (enfin) champion de France et rêve d’une médaille aux championnats du Monde à Sarasota (Etats-Unis) cet été.

 

Mathieu a commencé l’aviron en 2010, mais il n’a été licencié au Sport Nautique de Bergerac qu’en 2012 après le déménagement de sa mère, venue s’installer dans la ville périgourdine. « Le SNB m’a tout apporté, explique-t-il, et c’est la raison pour laquelle j’ai continué l’aviron. Ce groupe de potes et de coéquipiers m’a permis, avec le cadre du SNB, de remporter mes premières distinctions. » Fort de cet esprit de groupe qu’il a trouvé au sein du club, Mathieu espère bien remplir ses objectifs, car pour lui, le SNB est parfait pour ça : « Le club nous offre tout ce dont on a besoin pour performer, le reste nous appartient. Si on s’en donne les moyens, on peut atteindre des objectifs qui nous paraissaient impensables auparavant. »

« On ne quitte jamais vraiment le SNB »

Léa Vigeaudon, 25 ans, est manipulatrice radio au Centre Hospitalier de Bergerac. Elle est montée sur l’eau pour la première fois il y a 17 ans de cela, à l’âge de 8 ans, au club de Brive-La-Gaillarde. En 2009, il n’était pas rare de croiser Léa au Sport Nautique de Bergerac, car elle faisait partie du centre d’entraînement départemental (CED). C’est l’année suivante que celle-ci a choisi de prendre sa licence dans le club périgourdin : elle était alors juniore. Mais c’est à partir de ce moment-là que les difficultés d’entraînements sont apparues pour cette triple championne de France : une nouvelle orientation scolaire la force à quitter le CED. « Je m’entraînais dans le sous-sol de ma maison, se rappelle-t-elle. Le club avait mis à ma disposition un ergomètre. Avec mes parents, on avait aménagé un espace de musculation pour que je puisse suivre le programme d’entraînement. » Les entraînements seule le soir après les cours, les trains matinaux du samedi matin pour être sur l’eau à 9h… Comment a-t-elle gardé la motivation ? « Je pensais au collectif, aux copines, se rappelle-t-elle. Il ne fallait pas lâcher pour pouvoir monter dans le meilleur bateau à la fin de la saison. »

La motivation du groupe

 

Et c’est justement ce collectif important à l’époque qui a poussé Léa a changé de club pour rejoindre le SNB : 8 juniores filles. Cela permettait d’envisager de beaux équipages. Le classement du club à l’époque, l’assurance d’avoir un suivi d’entraînement sont autant de motivations pour venir grossir les rangs du club. Mais c’est aussi l’esprit familial, les valeurs que véhiculent le SNB qui l’ont attiré. Une fois dans la vie active, les horaires de travail ont également mis à rude épreuve sa motivation. Mais ce ne sont pas les difficultés qui ont stoppé cette corrézienne : « Aujourd’hui je me concentre sur ma vie de famille avec l’arrivée d’un bébé pour juin, explique la future maman. J’ai très bien profité de toutes ces années d’aviron, mais maintenant je veux aussi penser à moi. » Cependant, on peut toujours la croiser dans les travées lors de ses visites surprises. Elle suit également de près les performances des séniores femmes actuelles et des futures : « On ne quitte jamais vraiment le Sport Nautique de Bergerac. C’est une grande école d’apprentissage avec de grands champions et des encadrants prêts à vous transmettre le meilleur. Servez-vous des plus grands comme exemples, ils vous montreront le bon chemin ! »

 

Un compétiteur de rêve

Sa photo trônait à l’arrière de l’ancien bus du Sport Nautique de Bergerac. Et pour cause. Julien Desprès, rameur pendant plus de 20 ans, a fait partie de l’élite mondiale : champion de France, d’Europe, du monde et médaillé de bronze aux Jeux Olympiques de Pékin en 2008. Durant toutes ces années, la motivation de Julien n’a pas fléchi une seule fois. Son plus grand moteur ? « Rêver. »  Lors de ces années de pratique, il a fait rêver de nombreux rameurs : sur les bassins, les plus jeunes se retournaient sur son passage avec des yeux écarquillés et les plus grands le regardaient ramer avec admiration (et une pointe d’envie). Cet auto-entrepreneur de 35 ans est un exemple pour beaucoup. Mais pour atteindre un tel niveau, le champion toutes catégories a dû adapter ses horaires : que ce soit lors de ses études ou lorsqu’il occupait son poste précédent, il s’entraînait entre midi et 14h00 et le soir pour répondre à ses obligations. Lors de ses multiples sélections en équipe de France, Julien a pu en profiter pour s’entraîner et courir dans le monde entier. Est-ce qu’il a rencontré des difficultés pour s’entraîner ? « Aucune qui ne puisse être surmontée », répond-il avec le sourire. 

Une légère nostalgie

 

Lors de ses passages au club, l’auto-entrepreneur de 35 ans est toujours bienveillant : il n’est jamais avare en conseils techniques et il aide les autres à se dépasser à chaque entraînement. Même si Julien ne rame plus aujourd’hui (il se cherche d’autres facettes), il avoue tout de même qu’une bonne sortie en deux sans barreur lui manque. « J’ai un souvenir ému de mes jeunes années où chaque kilomètre était un défi et une aventure, se remémore-t-il. J’ai bénéficié d’un suivi que je n’aurais jamais reçu dans aucun autre club. » Et son meilleur conseil pour les plus jeunes est de toujours viser plus haut. « Votre plus grande récompense en sera le chemin ! »

 

Le collectif comme motivation

Si une séniore femme se blesse, elle peut compter sur Camille Métifet, aide-soignante et étudiante infirmière. Agée de 21 ans, cette jeune femme pratique l’aviron depuis 10 ans. Même si elle n’a jamais été médaillée, elle compte de nombreuses finales de championnat de France à son actif. Malgré deux 4èmes places, la motivation de Camille n’a jamais diminué : après une année d’absence pour des raisons de santé, elle est revenue, motivée par la cohésion de groupe. « L’aviron m’a manqué car je ne retrouvais plus cette cohésion de groupe, se rappelle Camille. Le collectif, l’esprit du club, le partage, les entraînements intenses ayant pour objectif à la fin de l’année d’intégrer des bateaux pour les championnats m’ont motivé pour revenir. » Aujourd’hui en école d’infirmière, Camille a parfois des difficultés à lier sport et études. « J’ai un ergo dans mon studio afin de continuer les entraînements de fond étant donné que je n’ai pas souvent l’occasion de pouvoir ramer. » Sa formation l’amenant à réaliser des stages, elle se retrouve parfois à Bergerac, ce qui est ainsi plus simple pour elle pour s’entraîner avec le groupe, et lui permet de retourner sur l’eau pour retrouver les sensations de glisse qu’offre ce sport.

 

Une deuxième famille

 

« Aujourd’hui, je recherche plus le plaisir que la performance. » Et ce plaisir, Camille le trouve aussi simplement en étant présente au Sport Nautique de Bergerac. Avec un père arbitre d’aviron, des grands-parents bénévoles dans la structure depuis très longtemps, une petite qui a aussi pratiqué et une tante qui rame dans la section loisir, rien de bien étonnant à ce que l’étudiante infirmière se sente ici chez elle. Pour elle comme pour de nombreux rameurs, ce club représente beaucoup : « Ce club est une seconde famille car il m’a énormément appris sur moi, et il nous apprend des valeurs qui sont essentielles dans la vie notamment l’entraide, l’esprit d’équipe et le dépassement de soi. »

 

Un avenir prometteur

A seulement 19 ans, et ne comptabilisant que 6 années de pratique, Téo Rayet est déjà un rameur de haut niveau. Associé en deux sans barreur à Nicolas Stender, cet étudiant en STAPS à l’université de Lyon s’est classé huitième des championnats du monde des moins de 23 ans (U23). Téo a commencé à ramer en 2013 au sein du club de Castillon-La-Bataille. Il a intégré en 2014 le Centre d’Entraînement Départemental (CDE) puis le Pôle Espoirs en 2015. En s’entraînant dans la structure du Sport Nautique de Bergerac, Téo a été conquis par le club : « Le SNB m’a apporté une émulation que je n’avais pas dans mon ancien club, qui est un petit club formateur, explique le jeune homme. J’ai très vite progressé grâce aux entraîneurs avec qui j’ai eu tout de suite des affinités. » Très vite intégré dans le club, il rêvait de ramer avec les séniors du club. Ce qui est chose faite ! Aux derniers championnats de France bateaux longs, Téo, avec ses équipiers, a remporté la médaille de bronze en huit séniors hommes.

 

Et pourquoi pas Paris 2024 ?

 

Même si la fatigue se fait ressentir, Téo se rend deux fois par jour dans les locaux du Pôle Espoirs de Lyon : « même quand il ne fait pas beau, qu’on n’est pas motivé, il faut se maintenir au niveau. On ne prend pas que du plaisir à s’entraîner malheureusement. » Mais l’étudiant en STAPS ne perd pas de vue ses objectifs qui, pour la saison, sont d’atteindre la finale A en deux sans barreur des championnats de France bateaux courts, ramener cette année encore une médaille pour le SNB et pourquoi pas être médaillé aux championnats du monde U23. Et, qui sait, pourquoi pas participer aux Jeux Olympiques un jour. Malgré ses objectifs pleins d’ambition, Téo n’en oublie pas le SNB : « Malgré que je sois loin et que je ne rentre pas souvent, on s’appelle régulièrement avec les entraîneurs ou les autres rameurs. » Pour lui, le SNB est une deuxième famille qui l’a aidé à grandir dans la vie, c’est pourquoi il aimerait donner des conseils aux plus jeunes dragons : « Prenez un maximum de plaisir ! L’aviron est un sport qui rassemble et qui nous laisse des souvenirs à vie. Croyez en vos rêves ! »

 

Un dragon fier de ses couleurs

8 ans de pratique et déjà 7 médailles en championnat de France. Nicolas Stender, 21 ans est ce qu’on appelle un « jeune sénior ». Ce grand gaillard fait partie des espoirs français : associé à Téo Rayet en deux sans barreur moins de 23 ans, ils se sont classés 7ème au championnat de France bateaux courts, en battant, entre autres, un médaillé olympique. L’avenir est donc devant lui. Et pour arriver à ce résultat, Nicolas s’entraîne dur : il fait partie du pôle France de Lyon. Pour cet étudiant en DUT Génie Civil et Construction Durable, la compétition est au quotidien. Les sensations et le plaisir en bateau ne sont rien face à son envie de devenir meilleur et de se dépasser. Même s’il avoue parfois que « la charge importante d’entraînements, les blessures et la démotivation peuvent [le] décourager. »

 

Patience et longueur de temps…

 

Même si Nicolas a rejoint le pôle de Lyon, il reste « fier de pouvoir porter les couleurs de mon club à chaque compétition nationale, clame-t-il. J’ai rejoint le pôle notamment pour mes études mais également pour faire partie d’une structure de haut niveau afin de m’aider à atteindre l’équipe de France. » Ce qui est chose faite ! Il s’est classé, cet été, 8ème en huit aux championnats du monde Moins de 23 ans à Poznan (Pologne). Aujourd’hui, il est plus motivé que jamais : « Cette année, j’ai pour objectif d’aller chercher la grande finale aux bateaux courts avec Téo, puis d’aller jouer la course à la médaille aux championnats du monde U23 à Sarasota (Etats-Unis), dit-il avec une certaine détermination. Pour ce qui est du club, j’ai vraiment à cœur d’aller chercher mon premier titre de champion de France. » Même si ces objectifs sont définis, Nicolas reste lucide et sait qu’il faut être patient, que les résultats viennent avec un travail régulier. Et c’est justement ce qu’il espère faire comprendre aux plus jeunes. « Ne brûlez pas les étapes. Si ça ne paye pas tout de suite, ça payera un jour. Le chemin à parcourir peut être plus ou moins long pour certains, mais ne cessez jamais d’y croire ! »

 

Fidèle à son poste !

« T’es toujours là toi ? » Voilà une phrase que Françoise de Vaugelas n’a pas fini d’entendre. En effet, à seulement 29 ans Françoise de Vaugelas a déjà 20 ans de pratique derrière elle ! Journaliste, biologiste et enseignante, cette multi-casquettes gardera pour toujours une place au sein du Sport Nautique de Bergerac. Elle a déjà fait ses preuves : deux fois championne de France, deux fois médaillée de bronze et vainqueur du match France/Angleterre en 2005. Cette réussite n’est autre que le résultat d’une motivation sans faille : Françoise a toujours eu « l’envie de [se] dépasser ». Même quand les conditions n’était pas idéales ! Car pas facile de s’entrainer pendant ses études. Durant son parcours de biologie à l’université de La Rochelle, elle a poursuivi ses entraînements dans une petite structure d’aviron de mer, avec des horaires d’ouverture différents. « Ma technique a souffert de ces conditions, se rappelle-t-elle, il a été très difficile pour moi de progresser à cette période ». Mais à cœur vaillant, rien d’impossible, surtout pour les gens qui savent maitriser un faon à mains nues (elle vous racontera ça). Pour ses séances de musculations, elle s’est débrouillée pour trouver des créneaux horaires où la salle de l’université n’était que peu fréquentée par les autres étudiants. C’est-à-dire souvent entre deux cours, avec d’autres sportifs de haut niveau : « je me suis très souvent entraînée en compagnie de l’équipe de réserve de rugby du Stade Rochelais, très pratique pour décharger une barre un peu lourde. » Les fréquents footings en bord de mer le soir venaient compléter son entraînement.

 

Transmettre sa passion aux plus jeunes

 

Si Françoise décide maintenant de laisser la place, ce n’est pas vraiment de son plein gré. « Mon arrêt n’est pas vraiment un choix personnel : une hernie discale m’a coupé dans mon élan ». Suite à cet arrêt plutôt brutal de la pratique, Françoise ressent un certain vide : « les sensations de glisse me manquent énormément, dit-elle, la sensation d’une sortie où le travail a été efficace. » Aujourd’hui, c’est donc en participant à l’encadrement des benjamins que Françoise canalise son énergie débordante. Si elle avait un message à faire passer aux plus jeunes, elle leur dirait simplement « [qu’] il faut toujours persévérer : on rencontre très souvent des difficultés, mais quand on les surmonte on en ressort plus fort, plus performant. Il faut prendre du plaisir et se serrer les coudes : avec les copains, tout devient plus facile ! »

 


 

Les bonnes courses comme moteur

1,86 m et 89 kilos. Ce grand gaillard de Guillaume Ampe est un pilier du groupe sénior hommes du Sport Nautique de Bergerac. Pratiquant l’aviron depuis 13 ans, cet inspecteur technique chez Nexity ne comptabilise pas moins de 6 titres de champion de France et 5 participations aux championnats du monde. Même si « le plaisir de la performance » est toujours là, sa motivation peut parfois être soumise à rude épreuve : « C’est compliqué de se motiver pour l’entraînement les jours de mauvais temps ou le froid en plein hiver, explique Guillaume. Le plus difficile pour moi est de m’entraîner tous les soirs à partir de 18 h. Je n’ai pas d’autres créneaux à cause de mon emploi. » Mais le souvenir des bonnes courses en bateau long pour aller chercher des médailles le rebooste. Et pourtant, ce rameur international n’était pas un compétiteur né. « J’ai eu des débuts assez compliqués car je n’avais pas du tout l’esprit de compétition, se rappelle-t-il. Lors de mes championnats de France en Minime 1 j’ai découvert une autre facette, celle de l’esprit collectif. L’année suivante nous sommes champions de France en nous serrant les coudes toute l’année et en s’entraînant plus sérieusement. J’ai par la suite eu la chance d’intégrer les équipes de France à 17 ans. »

 

 

Loin des yeux mais près du cœur

 

Ses études ont amené Guillaume à s’installer à Nancy, et à rejoindre le pôle de Nancy. Il est cependant toujours resté licencié au Sport Nautique de Bergerac car « c’est pour [lui] comme une seconde famille mais avant tout un groupe d’amis et un groupe de sportifs avec qui j’ai toujours aimé me dépasser pour aller chercher des résultats. » Guillaume fait également partie d’une génération de rameurs désireuse de partager son expérience avec les plus jeunes : lorsqu’il est présent au SNB, il aide et discute avec plaisir avec les plus jeunes, tout en leur conseillant de rester soudés et motivés. « Nous faisons un sport individuel mais en collectif. Les médailles aux championnats de France ou les sélections en équipe de France s’obtiennent avec un entraînement régulier et rigoureux mais pensez toujours avant tout à prendre du plaisir à l’entraînement », conseille-t-il avec malice.

 

Stany Delayre : Super-Héros ou mental d’acier ?

Sur les bassins on ne le présente plus. Stany Delayre fait partie des grands noms de l’aviron français. Associé pendant 4 ans à Jérémie Azou en double poids léger, ce jeune retraité de 31 ans a dominé la catégorie : double champion du monde, triple champion d’Europe et triple médaillé d’argent aux championnats du monde. La meilleure motivation de Stany Delayre pendant ses 16 années de pratique ? « Les copains et les objectifs de la performance », se rappelle l’actuel éducateur sportif. Ce sport difficile et très prenant peut parfois décourager les plus téméraires. Mais pas notre champion. Déjà lorsqu’il est arrivé au club, il faisait preuve d’une certaine détermination : en plus du sport exigeant qu’est l’aviron, il faisait partie des jeunes sapeurs-pompiers de Bergerac. Avec le temps, le périgourdin a choisi la stricte discipline de la rame. Et malgré la fatigue, Stany a réussi à se maintenir en équipe de France pendant plus de 10 ans.

 

Et au bout la fatigue

 

Si préserver un niveau international est difficile pour tous les grands sportifs, Stany Delayre est le meilleur dans ce domaine. Fracture de la cheville, opération du genou, trois vertèbres fracturées lors d’un accident à l’entraînement… Mais la force de caractère du double champion du monde a eu raison des épreuves. Ses surnoms de Wolverine (X-men capable de se regénérer) ou de Phoenix nous laissent penser qu’il possède réellement des super-pouvoirs. Mais la fatigue a finit par avoir raison de lui, il est aujourd’hui retraité. « Je commençais à ressentir une certaine lassitude à l’entraînement, explique-t-il. J’étais fatigué physiquement et mentalement, et je pense avoir fait le tour de mon sport. » Transmettant aujourd’hui son amour de l’aviron aux membres du SNB, il avoue tout de même que les copains et l’ambiance des stages lui manquent. « Le travail paye toujours ! Soyez rigoureux et patient. » Car oui, la patience est une des principales qualités de ce grand champion : cela lui a permis de maintenir son niveau d’excellence. Ce qu’il aimerait faire comprendre aux dragons d’aujourd’hui ? « Pour que quelque chose devienne possible, il faut constamment tenter l’impossible ! »

 

« Le club sait rendre aux gens qui s’engagent »

Nathalie Villechenaud, 48 ans, professeur d’EPS, a découvert l’aviron à l’âge de 15 ans. Trois titres de championne de France et une médaille d’argent plus tard, elle quitte le monde de l’aviron pour se consacrer à ses études. Après avoir repris les rames plusieurs années plus tard, Nathalie est aujourd’hui championne de France Indoor dans la catégorie Poids Léger 40-49 ans. Rencontre.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de revenir au Sport Nautique de Bergerac ?

Une fois enseignante, je suis retournée à ma première passion qui était le volley-ball. J’ai pratiqué ce sport jusqu’à ce que je me blesse aux genoux, à l’âge de 35 ans. De l’arthrose m’empêchant de sauter, courir… Seuls les sports portés, le vélo et la natation me sont autorisés. Du coup, j’ai repris l’aviron en loisir pour m’entretenir, retrouver le plaisir de ramer et de fréquenter ce club tant aimé.

Qu’est-ce que tu aimais tant dans ce club ?

Ce club est fantastique. On y croise des champions du monde et des ex champions qui sont toujours là, très impliqués dans la vie du club. C’est une grosse machine dirigée depuis tant d’année par des personnalités hors du commun comme son président Jean Rousseaux. Tout le monde a envie de donner pour ce club, les loisirs prennent du plaisir en bateau mais ils sont aussi très engagés dans le bénévolat. Tout le monde fait le maximum pour que ce club continue à fonctionner au mieux. Et ça c’est remarquable. L’esprit de ce club est si particulier, un mélange de rigueur et de générosité. Pour réussir en aviron, il faut beaucoup s’engager, beaucoup s’entraîner, il ne faut pas faire semblant, il faut être à fond. J’aime cet engagement total. Mais le club sait rendre aux gens qui s’engagent. On reçoit beaucoup en retour aussi, en plaisir, en joie, en gentillesse. C’est un plaisir de voir le club réussir à perpétuer cet esprit de générations en générations.

Qu’est-ce qui te plait tant dans la compétition ?

Il y a trois ans j’ai commencé à m’entraîner sérieusement pour relever le défi de participer au championnat de France d’aviron indoor dans ma catégorie des 40-49 ans. Plus je me suis entraînée, plus j’en ai tiré des bénéfices au niveau santé et bien-être. Et puis, l’ergomètre ne m’a pas suffi, je suis remontée dans des bateaux en compétition parce que je tenais encore mon rang malgré mon âge et que je n’étais pas encore trop ridicule. Quel plaisir de vivre encore ces courses de l’intérieur, dans un skiff ou dans un huit avec des coéquipiers que j’ai eu pour la plupart comme élèves au lycée. Malgré la différence d’âge avec eux, je me sens bien et pas tellement en décalage car dans un bateau ce qui compte c’est d’être là pour donner son maximum. Et ce jeu-là, je l’aime encore beaucoup. Je prends tout ce qu’il m’est encore possible de prendre car forcément cela ne durera pas éternellement.  

Quel message souhaiterais-tu faire passer aux plus jeunes ?

Les jeunes dragons ont beaucoup de chance d’avoir rencontré ce club. Ils vivent les conditions idéales pour progresser et pratiquer un jour ce sport à un haut-niveau. Vivre cela marque une vie d’une manière tellement positive et même si tous ne seront pas médaillés au championnat de France, tout faire pour y arriver est un challenge qu’il faut tenter. Tous en sortiront grandis.

Evaluation ergométrique

La saison hivernale est lancée

Les 8 et 9 décembre derniers se déroulaient l’évaluation ergométrique nationale : réaliser un 2 000 mètres sur ergomètre (machine à ramer). Les J16, J18 et séniors du Sport Nautique de Bergerac se sont rendus à Saint Jean d’Illac (33) pour ce rendez-vous annuel.

 

Chez les J16 filles, ce ne sont pas moins de 65 jeunes rameuses qui se sont alignées, dont 8 bergeracoises : Louise Auber, Léa Jarjanetta, Enéa Denoix, Liz Delbos, Tiffany Nadales, Alix Lahorgue, Taïna Naissant et Eva Dumery-Bouvet qui se classent respectivement 6ème, 14ème, 20ème, 22ème, 24ème, 34ème, 36ème et 52ème.

 

Chez les J16 hommes, on retrouvait 2 bergeracois parmi les 74 concurrents. Jules Mazouaud prend la 20ème place tandis que Guillaume Roux se classe 39ème.

 

Chez les J18 filles, parmi les 28 partantes se trouvait Lisa Rousseaux qui prend la 9ème place du classement.

 

Chez les J18 hommes, 10 des 51 participants étaient bergeracois. Adrien Auber prend la première place du classement tandis qu’Antoine Perdigal se classe second. Baptiste Debest, lui, prend la 7ème place et Alexander Prince la 11ème. Tobias Gilbert, Guillaume Feltrin, David Dulac, Thibault Caillet, Nicolas Jeantou et Augustin Caillet se sont classés respectivement 17ème, 20ème, 25ème, 32ème, 36ème et 37ème. Suite à la compétition Adrien Auber, Antoine Perdigal, Baptiste Debest ainsi qu’Alexander Prince ont été convoqués au stage de Ligue, à Bordeaux, qui s’est déroulé les 15 et 16 décembre.

 

Chez les séniores femmes, Nathalie Villechenaud se classe 6ème au général et prend la première place de la catégorie poids légères, et Mélanie Saubion prend la 16ème place du classement général.

 

Chez les séniors hommes, Christian Crespy se classe 56ème au classement général et 16ème chez les poids légers.

 

L’évaluation étant nationale, les séniors hommes du Sport Nautique de Bergerac présents sur les pôles d’entraînements n’ont pas fait le déplacement jusqu’à Saint-Jean d’Illac mais ont tout de même réalisé leur test ergo. A Lyon, Téo Rayet et Nicolas Stender ont réalisé des temps de 6 :05’2 et 6 :05’9. Guillaume Ampe et Quentin Stender ont, eux, passé leur test à Nancy. Ils ont réalisé des temps respectifs de 6 :05’6 et 6 :06. Mathieu Duvignacq à quant à lui réalisé son test en 6 :18’7 à Toulouse.

 

Soirée du SNB

Venez vous joindre aux dragons, le samedi 22 décembre, au Sport Nautique de Bergerac, pour célébrer la saison 2018. Que vous soyez lié de près ou de loin au club, vous êtes les bienvenus : parents, rameurs, avifiteurs, supporters, simple ami... Poussez la porte.

La soirée commencera par une table espagnole, et une participation financière de 2 € par personne vous est demandée.
N'oubliez de vous inscrire sur les feuilles disposées à l'entrée du club.

Venez nombreux !

Challenge Bordeaux

Le 14 octobre dernier, le Sport Nautique de Bergerac a fait le déplacement à Bordeaux Lac (33) pour participer au Challenge Michel Andrieux. C’est la première compétition de l’année où toutes les catégories ont fait le déplacement.

Il est à noter que tous les équipages bergeracois se sont hissés en finale lors de cette journée.

Les quatre équipages J12 s’en sont particulièrement bien sortis car ils remportent le challenge, en totalisant 114 points (devant la SN Bayonne, 28 points, et le CN Libourne, 24 points). Le 8 de couple avec barreur (8X+) prend la première place. Et les trois yolettes de couple (4YX+) engagées se classent 1ère, 4ème et 5ème.

Chez les J14 filles, trois équipages étaient engagés : un 8X+, un quatre de couple avec barreur (4X+) et un skiff (1X). Ces trois équipages prennent chacun la deuxième place de leur catégorie. Chez les garçons, ce sont également trois équipages J14 qui ont été engagés : une 4YX+, un 4X+ et un 8X+. L’équipe en 4YX+ prend la 3ème place, le 4X+ se classe 5ème et le 8X+ se classe 2ème.

Chez les J16 filles, un seul équipage était engagé : un huit de pointe avec barreur (8+), qui prend la 2ème place. Et chez les garçons de la même catégorie d’âge, un seul équipage également a été engagé : un double (2X) qui a pris lui aussi la 2ème place.

Chez les J18 garçons débutants, une 4YX+ a été engagée et s’est classée 4ème.

Chez les séniors hommes, un 8+ était présent et s’est classé 4ème.

Cette journée constituait également la première étape du Challenge Aquitaine dont les équipages doivent être mixtes : 4 hommes et 4 femmes. Et trois des membres de l’équipage doivent être J18. L’équipage bergeracois s’est classé 4ème.

Régate de Marmande

Un début de saison prometteur pour les petits Dragons

Ce dimanche 7 octobre, 51 jeunes du Sport Nautique de Bergerac, benjamins et minimes, se sont rendus à leur première compétition de l’année, sur le lac de Beaupuy (Lot-et-Garonne). Malgré la pluie et le vent, les résultats sont très encourageants pour la suite de la saison.

Chez les J11/J12, quatre yolettes de couple ont pris le départ : l’équipage composé de Giovanni Naissant, Lydie Pervieux, Nael El Aytary, Walid Bouziane, barré par Havet, ont remporté la compétition. L’équipage Auguste, Célia Turcky, Gwenaelle Hiraux, Saffiya El Karma, barré par Arthur Feltrin, prend la 3ème place. La 4ème place est remportée par Diego Pobelle, Nathan Vitrac, Luca Vitrac, Steven Dutriez, barré par Maxime Berguin. Et enfin l’équipage Faustine Aranega, Li-Ann Mach, Lafosse, Shanna Le Clech, barré par Briac Rognerud se classe 6ème.

Deux doubles J11/J12 ont également pris le départ ce dimanche. Baptiste Lahorgue et Axel Pebaye prennent la première place, et Lana Belbos/ Mélissandre Fourcaud se classent 3ème.

Chez les J13/J14, une yolette composée de Jordan Benancie, Tristan Demestrere, Collin Lewin et Alistin Cumenal, barrée par Amélie Naissant s’est alignée au départ et a été cherché la 4ème place.

Toujours chez les J13/J14, 3 quatre de couple avec barreur féminins étaient engagés. L’équipage composé de Dora Collin, Chloé Betaille, Emmy Bry et Célia Bry s’est imposé, suivi de près par Dora Aniello, Chloé Jarjanette, Naomie Freville et Morgane Sorbier qui se classent 2ème. Le dernier équipage bergeracois, composé de Amélie Naissant, Inès Blondel, Anaïs Gourd et Eva Hankel prend la 4ème place.

Le double J13/J14 fille, composé de Lili Introvigne et Maelane Rognerud, s’est classé 2ème.

Chez les J13/J14 garçons, ce sont 3 quatre de couple avec barreur qui ont pris le départ de cette compétition. Le bateau composé de Luigy Coldeboeuf, Aaron Vitrac, Briac Rognerud et Romain Havet, barré par Dora Aniello, prend la 3ème place, suivi de Maxime Berguin, Loson Cestron, Tom Martin et Noa Dewost, barré par Dora Collin, qui eux, prennent la 4ème place. Le dernier équipage, composé de Arthur Feltrin, Sam Castaldo, Enzo Vieillevigne et Thomas Bru, barré par Noamie Freville, se classe quant à lui 8ème.

 

Dimanche prochain, les jeunes rameurs, rejoints par les catégories cadets, juniors et séniors, se rendront au lac de Bordeaux pour disputer le Challenge Michel Andrieux.

 

Sprints 2018

 

Ce week-end, les séniors du Sport Nautique de Bergerac ont disputé les derniers championnats de France de la saison 2018. Ils se sont rendus à Vichy (Allier) pour s’aligner sur la distance sprint : au lieu de réaliser des courses sur la distance olympique de 2000 mètres, les compétiteurs réalisent des parcours de 500 mètres (moins de 90 secondes de courses).

Ce sont donc quatre embarcations bergeracoises qui ont fait le déplacement : deux quatre sans barreurs masculins (4- SH) et deux huit mixtes (8+M), composés de 4 hommes et 4 femmes.

Le 8+ M composé d’Antoine Perdigal, Louis-Pierre de Vaugelas, Fabien Accary, Mélanie Saubion, Léo Baptiste, Roxane Chauvin, Emma Guillebot et Jade Guillaume, barré par Guillaume Roux, prend la troisième place de la finale D, se classant ainsi 21ème.

Le 4-SH composé de Théo Rousseaux, Nicolas Delage, Herman Lamouche et Julien Laveyssière a été cherché la 3ème place de la finale C et par conséquent la 15ème place au classement général.

Le 8+M composé de Léa Vigeaudon, Nicolas Stender, Quentin Lauriou, Mathieu Duvignacq, Camille Métifet, Thomas Duvignacq, Lisa Rousseaux et Nathalie Villechenaud, barré par Louis Crespy, dispute un très beau championnat et s’octroie une très belle 5ème place en grande finale signant ainsi la meilleure prestation bergeracoise depuis de nombreuses années dans cette catégorie.

Le 4-SH composé de Téo Rayet, Guillaume Ampe, Quentin Stender et Valentin Geneste va chercher quant à lui la 4ème place.

 

Le week-end prochain, les jeunes rameurs du club se déplaceront pour leur première compétition de l’année au lac de Beaupuy (Lot-et-Garonne), où des courses sur 500 mètres leur permettront de se familiariser avec le déroulement de tels évènements pour la suite de la saison.

Challenge scolaire 2018

Les CM2 rament pour leurs écoles

 

Douze ans déjà que le Sport Nautique de Bergerac organise cette rencontre sportive à l’aviron tant attendue par les petits bergeracois.

Mardi 13 juin, dès 8h30, huit classes de CM2 ont pris la route à pied ou en bus pour rejoindre le club d’aviron. Cette année, la pluie allait quelque peu perturber ce début de matinée.  Certains sont arrivés un peu trempés mais avec le sourire malgré tout, motivés par l’évènement.

Sept écoles, huit classes soit cent quatre-vingts élèves et une quarantaine d’adultes pour encadrer tout ce monde se sont retrouvés dans les travées du club et tous ont croisé les doigts pour que la pluie cesse et autorise à monter en bateau. Car c’est ce que tout le monde attend de monter en bateau en l’occurrence en yolette à quatre avec un barreur. Ils sont venus pendant l’année, apprendre à ramer pendant un cycle de cinq séances et c’est le jour du challenge que l’on voit qui a le mieux appris.

Mais avant cela, ils vont répondre à un questionnaire sur les connaissances qu’ils ont pu acquérir sur l’aviron. Il faudra qu’ils se souviennent du vocabulaire très spécifique : babord, tribord, dame de nage, coulisse, ramer en couple ou en pointe…

Puis ils visionneront des vidéos promotionnelles de l’aviron qui mettent en avant les valeurs et l’esthétique de notre sport. Stany Delayre sera disponible pour répondre à toutes leurs questions : rencontrer un double champion du monde ça impressionne et ça suscite la curiosité.

Ensuite, ils rejoindront la salle de musculation où ils se testeront sur un 250m à l’ergomètre. On saura qui sont les trois meilleurs garçons et filles qui représenteront leur école pour l’épreuve ergométrique en relai de l’après-midi. Ils se démèneront pour faire le maximum, ramer grand et pousser fort sur ses jambes, c’est ici l’essentiel.

Enfin, un ultime entraînement en yolette sur la Dordogne permettra aux équipages de travailler un dernière fois le ramer ensemble, la compétence qu’il faudra rechercher à tout prix pour faire glisser son bateau le plus vite possible.

L’après-midi, les choses sérieuses commencent avec les courses en yolette : quatre bateaux alignés et un départ donné comme dans une vraie course. Objectif : faire le meilleur temps et aussi bien sûr gagner sa course car passer la ligne d’arrivée premier sous les applaudissements et encouragés par les copains qui crient le nom de son école, ça procure de drôles d’émotions quand même. Le soleil est revenu, il réchauffe tout le monde et l’ambiance sur les marches du club qui servent de tribunes, monte d’un cran.

Pour clore la journée, tout le monde se retrouve dans la salle de musculation pour l’ultime épreuve, un relai à l’ergomètre avec les trois filles et trois garçons sélectionnés pour leur école. Huit classes, huit ergomètres connectés à l’ordinateur et un grand écran avec les petits bateaux qui avancent plus ou moins vite. Le relai se court sur 1500m ce qui laisse le temps de prendre sa dose d’émotions fortes et d’en prendre plein les oreilles. Si tous les élèves ne participent pas à cette épreuve, ils sont tous derrière leurs camarades et poussent très forts de la voix pour les encourager. L’ambiance est à ce moment à son comble pour le plus grand plaisir de tous.

Cette année, c’est l’école Fénelon qui remporte le challenge scolaire. Un grand bravo à tous, aux élèves et aux enseignants des écoles René Desmaison, André Malraux, Jean Moulin, Le Taillis, Saint Jacques et Romain Rolland. Un grand merci aussi aux bénévoles qui ont œuvrés comme toujours pour que tout se déroule bien.

Et rendez-vous l’année prochaine pour de nouvelles aventures sur la Dordogne et au SNB. 

 

 

Du Bronze à Libourne !

Championnats de France Séniors

C’est sous une météo clémente que se sont déroulés, les 9 et 10 juin, les championnats de France séniors bateaux longs, à Libourne (33). Encore une occasion pour le Sport Nautique de Bergerac de rapporter une médaille. Ce sont 26 rameurs et rameuses qui ont défendus les couleurs bergeracoises ce week-end.

Le double séniors hommes poids léger (70 kilos de moyenne pour l’équipage) composé de Nicolas Delage et Théo Rousseaux prend la 6ème place de la finale C, prenant ainsi la 18ème place du classement général.

Le jeune équipage du double séniores femmes poids léger (57 kilos de moyenne), avec à son bord Roxane Chauvin et Emma Guillebot, prend la 5ème place de la finale C et se classe ainsi 17ème.

Steven Alavoine, Fabien Accary, Léo Baptiste et Louis-Pierre de Vaugelas, barrés par Karim Medraoui, prennent la 5ème place de la finale B, se classant ainsi 11ème en quatre barré.

Le 8 séniores femmes, composé de Léa Vigeaudon, Camille Métifet, Françoise de Vaugelas, Marie Busquets, Lisa Rousseaux, Mélanie Saubion, Emma Saubadu, Nathalie Villechenaud et barré par Roxane Chauvin prend la 3ème place de la finale B, et se classe donc 9ème, un bon résultat pour ce retour car la dernière participation d’un 8 féminin remonte à 2012.

Le 8 séniors hommes, quant à lui, a pris le départ de la finale A. Après une course relevée, Hadrien Godé, Téo Rayet, Nicolas Stender, Quentin Stender, Guillaume Ampe, Quentin Lauriou, Mathieu Duvignacq et Valentin Geneste, barrés par Louis Crespy conservent leur troisième place en finissant à quelques mètres des grenoblois second et remportent ainsi la médaille de bronze !

Ce week-end avaient également lieu les régates de sélection pour les juniors : engagés en double ou en quatre sans barreur, les rameurs tentent de se qualifier pour la Coupe de la Jeunesse qui se tiendra fin juillet à Cork, Irlande.

Ce sont 3 rameurs bergeracois qui ont participés à cette compétition : Antoine Perdigal, Adrien Auber et Baptiste Debest, associés à Julien Zonderland (CSN Brive) se sont alignés en 4- et prennent la deuxième place. Ils devraient (sous réserve de validation de la DTN) poursuivre la saison sous les couleurs de l’équipe de France.

Stage Equipe de France

Cinq bergeracois en stage avec l'équipe de France U23 !

Début de stage au Centre sportif de Bellecin (Jura) avec l'équipe de France U23 pour nos cinq bergeracois.
Parcours sur 2000m demain contre les autres équipages A et U23 français. 
Louis CrespyNicolas Stender et Téo Rayet en M8+
Hadrien Godé en M4x
Mathieu Duvignacq en LM4x

Des Universitaires en Or !

Championnats de France UNSS et FFSU

Ce week-end du 19-20 Mai a encore été une occasion pour les rameurs du SNB de briller, à l’occasion des Championnats de France UNSS et Universitaires à Macon. Cette compétition sur 1000m, à mi chemin entre le 2000m et le sprint, rappelle les grandes régates organisées entres les universités américaines. C’est ainsi que, répartis dans leur différentes universités, lycées ou écoles, les bergeracois ramènent 3 médailles d’or !

 

 

Sur le Championnat UNSS :

 

Le Lycée Maine de Biran, encadré par Nathalie Villechenaud et Paul-Henri Cardot avait engagés 3 Quatre de Couple masculin lors de ce championnat :

 

Un premier quatre de couple avec Antoine PERDIGAL, Thibault CAILLET, Léo BAPTISTE et Quentin GAILLARD se qualifient pour la Finale A où ils ne parviendront pas à accrocher le podium pour 4 secondes mais termineront tout de même à la quatrième place du championnat.

 

Le second quatre de couple avec Tobias BILBERT, David DULAC, Guillaume FELTRIN et Karim MEDRAOUI se qualifient pour la demi-finale mais manque leur place pour la grande finale d’une petite seconde.

 

En fin le troisième quatre couple composé de Baptiste DEBEST, Alexandre PRINCE, Louis BAPTISTE et Augustin CAILLET jouera lui aussi sa place en demi finale mais devra lui aussi se contenter de la petite Finale.

 

On assistera en Finale B à une belle course et un beau final des deux embarcations bergeracoises, qui terminent respectivement à la 2éme et 3eme place à 1 seconde d’écart et derrière le quatre du Lycée Verdunois.

 

 

Sur le Championnat Universitaire FFSU :

 

Soucieux de défendre leurs podiums de l’année dernière le double de l’INSA Toulouse Valentin GENESTE/Mathieu DUVIGNACQ s’impose grâce une stratégie très agressive. En effet, les deux rameurs n’ont pas eu peur de tenter le tout pour le tout et réalisent un parcours plein, devant les équipages de Nantes et Lyon ; ce dernier contre qui ils avaient eu du fil à retordre lors des courses précédentes.

 

Le huit masculin médaillé d’or n’est autre que celui de l’Université de Lyon, avec Nicolas STENDER. Ce dernier était placé en moteur au 4 du bateau lyonnais qui a fait forte impression lors de ce championnat et qui garde le titre de champion de France Universitaires acquis l’année dernière.

 

Le huit mixte de l’Université de Lorraine, composé entre autres par Quentin STENDER, qui comme son cadet était positionné au 4 du huit qui s’impose avec une avance confortable (plus de 8 secondes) sur ses concurrents.

 

Le quatre de couple Université Paul Sabatier de Toulouse avec Emma SAUBADU, Mélanie SAUBION ainsi que deux autres rameuses de Bayonne se qualifient pour la grande finale. Malheureusement, lors de celle ci, elles n’arrivent pas à accrocher la tête de course et terminent à la 5ème position.

 

 

WE Coupe de France

Les Bergeracois sous les couleurs de la nouvelle Aquitaine !

 

Rendez-vous annuel pour les ligues régionales, la Coupe de France rassemblait le WE du 28/29 Avril les équipages de l’ensemble des nouvelles régions de la métropole. Cette compétition opposait sur 1500m, des équipages de 9 personnes (8 rameurs et un barreur), chacun d’entre eux devait rapporter le maximum de points en s’affrontant en quatre : 4x et 4- (4+ pour les J16) un jour et en 8+ l’autre jour. Un classement est ensuite établi par catégorie (J16F, J16H, J18F etc).

Vingt-et-un bergeracois (15 rameurs, 3 barreurs et 3 membres de l’encadrement) se sont donc rendus à Mantes la Jolie (78) afin de porter les couleurs de la ligue nouvelles Aquitaine d’Aviron.

 

Une grosse délégation bergeracoise était présente chez les J16H: Tobias GILBERT, Baptiste DEBEST, Alexander PRINCE, Guillaume FELTRIN ont marqué les esprits dès le premier jour en s’imposant en 8+ lors des séries éliminatoires et de la finale A débloquant ainsi le compteur des médailles.

Le lendemain, ces mêmes rameur, engagés en quatre barré terminent troisième de la Finale A et décrochent ainsi la médaille de Bronze.

Cet équipage termine second du classement cadet homme et repart ainsi avec une médaille d’Or, d’Argent et de Bronze !

Trois autres bergeracois faisait partie du second équipage J16H : Nicolas JEANTOU, Thibaut CAILLET et le barreur Karim MEDRAOUI qui terminent quatrièmes de la finale B en 8+.

 

En J16F, le deuxième équipage constitué de Cecilia CHORT et Yaelle SAUBADU termine second 4ème de la finale B en 4x et 6ème de la finale B en 8+

 

En Juniors Hommes, le 8+ emmené par les bergeracois Antoine PERDIGAL, Adrien AUBER, David DULAC, Tristan LEMOINE et barré par Louis CRESPY) remporte la finale B.

Le lendemain, le 4- (Antoine PERDIGAL, David DULAC, Adrien AUBER) termine au pied du podium en finale A et se classe ainsi à la quatrième place.

Tristan LEMOINE, à la nage du quatre de couple termine sixième de la finale B.

Le groupe se classe 7ème au classement juniors hommes.

 

En Séniores Femmes, Françoise DE VAUGELAS termine troisième et décroche une belle médaille de Bronze en quatre sans barreur.

Le lendemain, le 8+ franchit la ligne d’arrivée de la finale A en sixième position et se classe 6ème du classement par catégorie.

 

Enfin, chez les séniors hommes, Valentin GENESTE et ses 3 coéquipiers du quatre de couple, suite à un finish serré, s’imposent en finale A avec 1 dixième d’avance et décrochent ainsi la médaille d’Or !

Quelques minutes plus tard, le quatre sans barreur (Quentin STENDER, Quentin LAURIOU et Guillaume AMPE) se classe second et décroche ainsi la médaille d’Argent.

Le lendemain, après s’être imposés en séries éliminatoires, le 8+ néo-aquitains composé des quatre rameurs bergeracois et barré par Louis Crespy a dominé la finale A dès les 250 premiers mètres et décroche ainsi la médaille d’Or venant clôturer cette Coupe de France 2018 !!

Suite à ces deux médailles, le groupe Séniors Hommes s’impose également sur le classement de la catégorie avec un total de 72 points devant les équipes d’Auvergne Rhône Alpes (56 points) et Provence Alpes Côtes d’Azur (54 points).

 

Les rameurs du SNBergerac ont donc ramené quatre médailles d’Or, deux d’Argent et deux de Bronze.

 

Plus à l’Est, Téo Rayet, Nicolas Stender, Hadrien Godé et Mathieu Duvignacq sont depuis le Mercredi 25 Avril en stage à Bellecin (Jura) avec l’équipe de France afin de préparer les prochaines échéances européennes et mondiales.

Championnats de France bateaux courts 2018

Ce sont 9 embarcations bergeracoises qui se sont rendues à Cazaubon (Gers) les 13-14-15 avril pour les championnats de France bateaux courts. C’est avec un temps clément, malgré du vent le vendredi, que les rameurs entraînés par Antoine Deleau et Stany Delayre se sont alignés face aux meilleurs compétiteurs et compétitrices français, pour tenter de décrocher une place en équipe de France.

Chez les J18, les 3 rameurs qualifiés participaient à leur premier championnat de France bateaux courts. Pour cette première expérience, Adrien Auber se classe 25ème du skiff (1x) après la tête de rivière du vendredi. Antoine Perdigal et David Dulac remportent la finale B du deux sans-barreur (2-) et se classent ainsi 7ème !

Chez les séniors femmes, une embarcation était qualifiée. Françoise de Vaugelas et Nathalie Villechenaud prennent la 3ème place de la finale D du 2- et se classent donc 21ème.

Deux bergeracois ont pris le départ chez les 1x séniors hommes toutes catégories : Quentin Stender se classe 28ème à la suite de la tête de rivière, et Hadrien Godé, quant à lui, remporte la finale C et prend donc la 13ème place du classement général.

En 2- séniors hommes, Guillaume Ampe, associé à Esteban Catoul (Dunkerque), prend la 2ème place de la finale C et se classe donc 14ème au général. La paire Nicolas Stender/Téo Rayet s’impose en finale B et prend ainsi la 7ème place nationale.

Chez les 1x séniors hommes poids légers (moins de 72,5 kg), les deux bergeracois se sont affrontés en finale C : Mathieu Duvignacq prend la 3ème place (15ème au général) et Valentin Geneste finit en 5ème position (17ème au général).

 

Suite à ce week-end, ce sont quatre rameurs bergeracois de moins de 23 ans (U23) qui se sont qualifiés pour le prochain stage d’équipe de France U23. Hadrien Godé, Mathieu Duvignacq, Nicolas Stender et Téo Rayet vont donc rejoindre le collectif français sur la base nautique de Bellecin (Jura) le 23 avril prochain.

Championnats de Zone BC 2018

En ce WE pascal, l’ensemble des clubs du Sud-Ouest (Nouvelle Aquitaine et Occitanie) s’était donné rendez-vous à Cazaubon (Gers) afin de disputer les Championnats de Zone bateaux courts, qualification pour les Championnats de France.

Malgré les conditions difficiles (course annulées le samedi après-midi en raison du vent et des vagues), les rameurs et rameuses du Sport Nautique de Bergerac, encadrés par Antoine Deleau et Stany Delayre se sont donnés au maximum afin de décrocher les quelques places qualificatives.

 

En Juniors garçons (J18), après s’être imposés en série et demi, la paire Antoine Perdigal-David Dulac confirme en Finale A et deviennent champion de zone.

Louis Baptiste et Louis Crespy terminent 5ème de la finale B

 

En skiff, Adrien Auber termine second de la finale A juste derrière le champion de France en titre.

Tristan Lemoine termine lui 4ème de la finale B.

 

Chez les filles, Lisa Rousseaux franchit la ligne d’arrivée de la finale B en 3ème position.

 

En Séniores, le SNB était représenté par 7 rameuses.

En skiff TC (toutes catégories), Emma Saubadu termine 3ème de la finale B.

Mélanie Saubion n’a pas pu accéder aux finales.

En skiff PL (poids légers), Emma Guillebot se classe 7ème de ces championnats.

 

En deux sans barreur, les paires Nathalie Villechenaud/Françoise De Vaugelas et Léa Vigeaudon/Camille Métifet se qualifient toutes les deux en Finale A et termine respectivement 3ème et 6ème.

 

 Côté masculin, on retrouvait en deux sans barreur Steven Alavoine et Léo Baptiste qui remportent la finale B.

Guillaume Ampe (associé à Esteban Katoul de Dunkerque) concourait à Gravelines (Zone Nord Est et terminent 3ème de la finale A.

Les U23 du Pôle de Lyon Nicolas Stender et Téo Rayet concouraient à Aiguebelette et se classent 5ème

 

En skiff TC, Hadrien Godé (U23) termine quatrième de la finale A.

Quentin Lauriou, après avoir terminé 4ème en demi-finale, se classe 3ème de la finale B.

Flavien Accary termine 24ème.

Quentin Stender (engagés à Gravelines) franchit la ligne en 6ème position.

 

Chez les poids légers, Valentin Geneste remporte la finale A et Mathieu Duvignacq (U23) se classe 3ème.

 

 Ce WE était également l’occasion pour les cadets/cadettes (J16) de se mesurer aux rameurs des clubs d’Occitanie à l’issue de leur qualification suite à la régate de ligue il y a deux semaines. Ces courses viennent clore le chemin de sélection pour les équipages régionaux qui concourront à la Coupe de France.   

 

Cecilia Chort termine 8ème du skiff.

 

Chez les garçons, après deux victoires en série et une seconde place, les 3 embarcations engagés (Baptiste Debest/Alexander Prince, Gilbert Tobias/Guillaume Feltrin et Nicolas Jeantout/Thibaut Caillet) terminent à la première, seconde et sixième place de la Finale A confirmant ainsi le niveau du groupe entrainé par Paul Henri Cardot, François Pareau et Marie Zede.

 

 

Ce sont donc au total 9 embarcations qui se qualifient pour les Championnats de France bateaux courts (WE du 14 Avril) et deux nouveaux titres de champion de zone du Sud Ouest pour le Sport Nautique de Bergerac.