Stage de 4 séances sur un mois pour découvrir l'Aviron
Venez tester à votre nouveau sport !
Le montant de ce stage sera déduit lors de votre adhésion à la saison 2024.
Cela fait du bien de retrouver les coachs, le bassin et ses habitudes d’entraînement.
Et puis, le plaisir de voir de nouvelles têtes arriver, rejoindre les rangs. Les éducateurs se mettent en quatre pour que les nouveaux apprécient l’aviron et pour que rapidement, ils puissent monter avec les rameurs confirmés dans de « vrais » bateaux. S’ils accrochent et s’entraînent régulièrement, ils pourront être compétitifs dès la première année.
C’est une nouvelle saison qui commence, toute une année d’entraînement en bateau et au sol ponctuée par des compétitions sur ergomètre et en bateau individuel, pour finir au top de sa forme, de sa technique et de la cohésion d’équipage lors des compétitions en fin d’année. Juin et Juillet, mois des championnats de France, objectif de tout rameur. Et les Bergeracois seront comme toujours au rendez-vous, le plus souvent possible dans le bateau roi, le huit qui comporte en fait neuf équipiers puisqu’il ne faut pas oublier le barreur.
Cette année, ce sont les cadettes en quatre barré qui se sont illustrées ramenant fièrement un titre de championnes de France d’aviron. Les minimes filles ont brillé également en gagnant une belle médaille d'argent au championnat de France.
Alors si vous voulez faire partie de l’aventure, le Sport Nautique vous accueille. Même si l’âge idéal pour commencer l’aviron est 12-13 ans, on peut démarrer à partir de 10 ans. Mais on peut aussi s’y mettre plus tardivement sans être en difficulté comme dans certains sports.
Si tu as aimé ramer sur la Dordogne,
viens rejoindre les dragons du Sport Nautique de Bergerac...
L'aviron, c'est TOP...
Des réductions pour que l'aviron soit accessible à tous
Offre spéciale nouveau licencié mineur : 50% de réduction sur la licence pour une première adhésion d’un mineur seulement jusqu’au 24 septembre
Offre spéciale famille : réductions de moins 15% à moins 40% de 2 à 5 adhérents de la même famille
Aide possible "Pass Sport" : 50€ accepté avec lettre originale (Selon conditions de ressources)
Aide possible du Conseil départemental de la Dordogne : 25 € (jusqu'à 16 ans)
Renseignements
06 33 39 09 01
On garde l'esprit de l'aviron et du SNB, on saupoudre de fitness, d'un peu de musique, de bonne humeur et on mélange toutes les générations pour obtenir une activité physique très complète. Comme en aviron, on travaille l'ensemble du corps, sans effet de choc, de manière ludique (s'amuser est essentiel, performer est accessoire) et qui peut répondre à différents objectifs personnels : s'entretenir au niveau musculaire et cardiaque, retrouver le goût de l'activité physique, perdre du poids, venir s'éclater pendant 1 heure avec ses amis ou en famille...
Horaires des séances environ 1 h :
Mardi 19h15
jeudi 18h
vendredi 12h30
Venez essayer...
Séances de découverte de l'Avifit
(30 min entre 16h et 17h30)
Samedi 3 septembre
Mercredi 7 septembre
Samedi 10 septembre
Renseignements
06 11 62 50 78
Téo Rayet sur la bonne voie !
Téo Rayet et ses équipiers de Bergerac étaient aux championnats de France Bateaux courts du 14 au 17 avril à Cazaubon (Gers) pour tenter de se qualifier dans les collectifs nationaux.
Chez les juniors un seul équipage de Bergerac avait réussi a passer le cap des Championnats de zones, Léa Jarjanette et Laura Pialleport prennent une belle 12 ième place lors des championnats de France en deux sans barreur J18 femme.
Sur les 7 équipages séniors qualifiés 3 ont passé la première journée des championnats significative de séries et de demies finales nationales. Téo Rayet et son équipier d’Aix les Bains s’adjugent le second temps général lors de toutes les courses qualificatives derrière les Verdunois très fort.
En finale le scénario et le même, le Bergeracois et son compère deviennent vice-champions de France de la catégorie reine du deux sans barreur séniors et marche sur les traces de ses aînés, comme Michel Andrieux et Julien Desprès.
Téo sera en stage national du 28 avril au 16 mai avec le groupe Olympique la semaine prochaine à Vaires sur Marne pour préparer les régates D’Essen (Allemagne) et se confronter au niveau mondial pour la première fois de l’année.
Grosse journée encore pour les dragonneaux qui ont fait le déplacement à Libourne en ce dimanche 16 janvier.
Une épreuve qui ne se déroulait pas sur l’eau, ni sur l’ergo mais au sol !!
Un rameur est avant tout un athlète, il doit connaître et maitriser les différentes pratiques sportives qui lui seront essentielles dans sa construction physique !! A savoir, la base : footing, bondissements, réflexes et contrôle de soit…
Félicitations aux jeunes guerriers qui ont bravé le froid et l’effort, on se retrouve vite sur l’eau pour une nouvelle étape !!!
Dès le mercredi 1er septembre 2021, les jeunes du Sport Nautique de Bergerac font leur rentrée. Ni cartable, ni stylos mais basket et combinaison pour retrouver les copains et les copines sur les bords de la Dordogne.
Cela fait du bien de retrouver les coachs, le bassin et ses habitudes d’entraînement.
Et puis, le plaisir de voir de nouvelles têtes arriver, rejoindre les rangs. Les éducateurs se mettent en quatre pour que les
nouveaux apprécient l’aviron et pour que rapidement, ils puissent monter avec les rameurs confirmés dans de « vrais » bateaux. S’ils accrochent et s’entraînent régulièrement, ils
pourront être compétitifs dès la première année.
C’est une nouvelle saison qui commence, toute une année d’entraînement en bateau et au sol ponctuée par des compétitions sur ergomètre et en bateau individuel, pour finir au top de sa forme, de sa technique et de la cohésion d’équipage lors des compétitions en fin d’année. Juin et Juillet, mois des championnats de France, objectif de tout rameur. Et les Bergeracois seront comme toujours au rendez-vous, le plus souvent possible dans le bateau roi, le huit qui comporte en fait neuf équipiers puisqu’il ne faut pas oublier le barreur.
Cette année ce sont les cadettes en quatre barré qui se sont illustrées ramenant fièrement une belle médaille d’argent et un titre de vice-championnes de France d’aviron.
Alors si vous voulez faire partie de l’aventure, le Sport Nautique vous accueille. Même si l’âge idéal pour commencer l’aviron est 12-13 ans, on peut démarrer à partir de 10 ans. Mais on peut aussi s’y mettre plus tardivement sans être en difficulté comme dans certains sports.
Les contraintes liées au covid sont les mêmes que dans tous les clubs sportifs : pass sanitaire* pour les majeurs et pass sanitaire pour les 12/17 ans à partir du 1er octobre.*
* Les personnes pour lesquelles la vaccination contre le Covid-19 est contre-indiquée peuvent demander à leur médecin un certificat médical pouvant être présenté dans les lieux, services, établissements et événements où le passe sanitaire est exigé. Un décret publié au Journal officiel le 8 août 2021 ...
https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15102
Horaires d’entraînement :
Ecole d’aviron 10-12 ans, Minimes 13-14 ans, les mercredis et samedis de 14h à 16h
Cadets 15-16 ans les mercredis, samedis de 16h à 18h et dimanche de 9h à 11h
Juniors 17-18 ans les mercredis, samedis de 16h à 18h et dimanche de 9h à 11h
Adultes débutants les samedis de 10h à 12h,
Adultes non débutant les mercredis, samedis de 16h à 18h et dimanche de 9h à 11h
Offre spéciale nouveau licencié mineur : 50% de réduction sur la licence pour une première adhésion d’un mineur seulement jusqu’au 21 septembre
Offre spéciale famille : réductions de moins 15% à moins 40% de 2 à 5 adhérents de la même famille
Pass Sport : 50€ accepté avec lettre originale. (Suivant conditions de ressources).
Renseignements
06 33 39 09 01 - 06 85 11 81 14
AVIFIT
On garde l'esprit de l'aviron, et du SNB, on saupoudre d'un peu de musique, de bonne humeur et on mélange toutes les générations pour obtenir une activité physique (comme en aviron, on travaille l'ensemble du corps, sans effet de choc), ludique (s'amuser est essentiel, performer est accessoire) et qui peut répondre à différents objectifs personnels : s'entretenir au niveau musculaire et cardiaque, retrouver le goût de l'activité physique, perdre du poids, venir s'éclater pendant 1 heure avec ses amis ou en famille...
Activité très complète adaptée à tous les profils
Horaires des séances environ 1 heure :
Mardi 19h, jeudi 18h, vendredi 12h30 et samedi 10h sur validation
Les contraintes liées au covid sont les mêmes que dans tous les clubs sportifs : pass sanitaire* pour les majeurs.*
* Les personnes pour lesquelles la vaccination contre le Covid-19 est contre-indiquée peuvent demander à leur médecin un certificat médical pouvant être présenté dans les lieux, services, établissements et événements où le passe sanitaire est exigé. Un décret publié au Journal officiel le 8 août 2021 ...
https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15102
Renseignements
06 11 62 50 78
de 10h à 12h et de 14h à 18h
Séance à 10h, 11h, 14h,15h, 16h, 17h
Le Sport Nautique de Bergerac lance une opération portes ouvertes pour accueillir les jeunes et moins jeunes qui veulent s’essayer à l’aviron, sport emblématique de Bergerac.
C’est l’occasion de découvrir un club qui fête ses 161 ans, une structure bien rôdée qui a formé des générations de rameurs et de champions.
C’est aussi l’opportunité de découvrir l’aviron dès la première séance, sur la Dordogne, dans des conditions idéales de sécurité et en bateau individuel d’initiation. Dès la première séance, le rameur débutant appréciera de faire glisser son bateau. C’est le grand plaisir du rameur.
En cette période difficile en raison de la covid-19, pouvoir pratiquer un sport en plein air est une grande chance. L’aviron est assez préservé de ce point de vue. La pratique en bateau collectif est même autorisée en raison de la distance suffisante entre rameurs. Faire le choix de ce sport peut être judicieux en ces temps qui risquent d’être encore compliqués.
La seule condition est de savoir nager. On peut commencer à partir de 10 ans à l’Ecole d’aviron et on peut pratiquer jusqu’à 83 ans et plus comme Jean Pierre doyen dans la catégorie Loisirs.
L’aviron est un sport d’endurance dont les bienfaits pour le corps sont nombreux tant au niveau musculaire qu’au niveau cardio respiratoire. C’est aussi un sport porté qui est non traumatisant pour les articulations. C’est à la fois un sport individuel et collectif où la cohésion entre équipiers et la rigueur de l’entraînement sont essentiels. Des valeurs qui se perdent parfois dans nos vies modernes mais qui restent centrales à l’aviron.
Les adultes venez tester l’Avifit, AVI-RON + FIT-NESS il s'agit d'un activité basée sur des mouvements composés sur les machines à ramer qu’on nomme ergomètres. C’est une discipline qui mixe l’aviron indoor et de fitness, tout cela en musique pour renforcer musculairement le corps entier et acquérir très vite une meilleure condition physique.
l’Avifit, c'est s'entretenir au niveau musculaire et cardiaque, retrouver le goût de l'activité physique, perdre du poids, venir prendre du plaisir avec ses amis ou en famille...
Il faudra aussi présenter son pass sanitaire si on est majeur pour pouvoir participer à ces journées de découverte.
Alors, n’hésitez pas à amener vos enfants et à venir vous même au club, promenade Pierre Lotti pour essayer l’aviron, l'avifit vous risquez d’adorer
C’est à Mantes-la- jolie qu’avaient lieu trois championnats de France entre le 14 et le 18 juillet pour clôturer une saison 2021 à l’aviron avec une grosse délégation de 54 rameurs Bergeracois.
Le quatre filles J16, composé de Morgane Sorbier, Chloé Jarjanette, Célia et Emmie Bry, barré par Cécilia Chort a bénéficié de ce savoir-faire SNB. En deux ou trois ans, elles ont acquis les compétences nécessaires pour briller au meilleur niveau. Elles reviennent avec une médaille d’argent qui ouvrent de belles perspectives pour l’avenir.
Ce sont les minimes J14 qui ont commencé avec entre autres, un très beau quatre de couple filles composé de Margot Atzori, Lana Delbos, Lydie Pervieux et Grace Lewin qui se classent à la 5ème place et un quatre garçons qui gagne sa finale D. Un huit minimes filles composé de beaucoup de J12 a engrangé de l’expérience grâce à ce premier championnat. Le SNB, club formateur par excellence saura les faire grandir pour qu’elles deviennent compétitives dès l’année prochaine.
Le SNB possède une grande tradition et force de formation. Du fait de sa structure très organisée pour la formation dans les jeunes catégories, avec quatre entraîneurs pro et huit bénévoles qui perpétuent une tradition d’entraînement qui a fait ses preuves depuis des décennies. Premier club de France pendant 10 ans dans les années 1980 et presque toujours dans le top 10 des clubs français depuis, les bonnes pratiques se transmettent de génération en génération. Antoine Deleau, entraîneur en chef aujourd’hui et la nouvelle équipe dirigeante avec Bruno Henry et Bertrand Razat, co-présidents se fixent des objectifs ambitieux pour le SNB : accueillir toujours plus de jeunes pour les amener progressivement vers le haut niveau et maintenir le club en 1ère division.
Le huit garçons J16 a aussi brillé par une progression constante sur ces deux derniers mois de préparation et termine à la 8ème place.
Enfin, cette semaine de championnats se clôturait par les sprint seniors. Les juniores filles surclassées en séniores et le double mixte réussissent leur championnat et se classent respectivement 12ème et 14ème.
Le SNB a réussi son défi d’aligner deux huit séniors avec de grandes ambitions. Le gros huit composé d’Hadrien Godé, Quentin et Nicolas Stender, Téo Rayet, Antoine Perdigal, Quentin Lauriou, Nicolas Chechelski et Nicolas Delage, barré par Roxane Chauvin accroche une très belle 4ème place dans une finale très dense où les costauds ont 500m pour déployer toute leur puissance en 1min20 environ sans droit à la faute. Un petit regret quand même de ne pas avoir accroché une médaille comme l’an passé. Quant au deuxième huit, il réussit à gagner sa finale C.
1€ pour découvrir l’aviron
Vous avez été plus de cent jeunes à venir découvrir l’aviron l’été 2020. Certains ont rejoint les dragons en septembre dernier. Devant ce succès le Sport Nautique de Bergerac renouvelle l’opération ‘’ 1 € pour découvrir l’Aviron’’.
Nous lançons la deuxième édition de « l’été sportif des 10/15 ans : 1€ pour découvrir l’aviron » pour permettre au plus grand nombre de venir découvrir le club et l’aviron dans des conditions privilégiées pour faciliter la réussite et le plaisir.
Les jeunes ont besoin d’activité physique, de plein air, de partage et d’échange.
L’aviron est le sport idéal pour satisfaire tous ces besoins et même en période de contraintes dues aux protocoles sanitaires, l’activité du club ne s’est jamais arrêtée. C’est l’avantage d’un sport de plein air qui se pratique en bateau collectif mais aussi en bateau individuel.
Le SNB propose 18, promenade Pierre Loti à Bergerac, des séances "découverte de l’aviron" tous les mardis et jeudis des mois de juillet et août, le matin de 10h à 12 .
Les conditions sont idéales : petit groupe de 9, initiation au tank à ramer puis bateau individuel d’initiation très stable qui permet de pratiquer sur la Dordogne en toute sécurité, le tout encadré par des entraîneurs diplômés.
De quoi très vite être en réussite en déplaçant son embarcation facilement sur un parcours balisé et pour la plupart, ressentir son bateau glisser ce qui est le grand plaisir du rameur.
Vous avez soif de découverte, de nouveauté, cette expérience vous tente ; il est temps de réserver en ligne votre séance découverte en cliquant sur le lien suivant :
Partagez cette idée avec vos amis pour venir vivre à plusieurs cette expérience de l’aviron sur la Dordogne.
Le Sport Nautique de Bergerac accueille depuis une quinzaine d'années les classes de CM2 de Bergerac pour des séances de découverte de l'aviron et organise chaque année le Challenge scolaire aviron qui a réuni tous les ans, près de 300 élèves pour une journée de rencontre sportive.
Malheureusement, compte tenu de la situation sanitaire, nous ne pouvons plus réunir autant d’élèves un même jour pour une rencontre sportive.
Aussi, nous avons revu notre projet pour les scolaires et nous proposons cette année le "Nouveau challenge scolaire à l'aviron".
Traditionnellement, seules les classes de Bergerac participaient à ce projet. Cette année, le SNB a souhaité permettre aux classes de CM2 des villages proches de Bergerac de vivre l’expérience de l’aviron.
Ce ne sont pas moins de 350 élèves de CM2 qui sont accueillis durant ce mois de juin au club pour un mini stage d’une demi-journée.
Il s’agit bien plus qu'une simple séance de découverte de l’aviron, mais aussi l'occasion de mettre le groupe en situation de coopérer pour être plus performant, car il faut s’entraider pour emmener les rames et les bateaux au ponton, il faut aider ses camarades à embarquer et débarquer.
L’initiation débute par le tank à ramer, une piscine intérieure où on peut apprendre le geste sans les problèmes de déséquilibre et d’orientation.
Puis, vient le moment d’embarquer dans un bateau d’initiation très stable, qui permet aux débutants de se déplacer facilement en toute sécurité. Les plus débrouillés pourront même sentir leur bateau glisser, ce qui fait le grand plaisir du rameur.
Ensuite, la séance se poursuit par une visite du garage à bateaux avec la découverte des différentes embarcations du skiff au huit.
Enfin, il faut monter sur l’ergomètre, la machine à ramer et employer toute son énergie pour parcourir la plus grande distance possible en 40 secondes, pour figurer au mieux dans le classement individuel de sa classe mais aussi de toutes les classes participantes.
A l’issue de ce mois de juin, le classement final sera établi et la meilleure classe remportera le « Nouveau challenge scolaire à l’aviron 2021».
Pour voir les résultats : https://sport-nautique-de-bergerac.assoconnect.com/collect/description/182607-g-les-cm2-au-snb
Le SNB espère que ce mini-stage offert aux petits bergeracois, leur donnera envie de poursuivre l’expérience dans le cadre de « L’été sportif des 10/15 ans : 1€ pour découvrir l’aviron ». Les jeunes auront la possibilité de continuer à s’initier les mardis et jeudis des mois de juillet et août, en petit groupe de 9, encadrés par les éducateurs diplômés.
Les plus motivés, désireux de rejoindre les dragons du SNB seront accueillis dès la rentrée de septembre à l’École d’aviron.
L’aviron, c’est le plaisir d’un sport de pleine nature et les joies du partage au sein d’un collectif. De quoi se faire plaisir et des amis pour la vie …
Tu as aimé ramer en skiffy sur la Dordogne avec ta classe,
Reviens cet été
Le mois de mai sera celui des collégiens bergeracois à l’aviron. En effet, les 6èmes et 5èmes sont accueillis au club dans le cadre des cours d’EPS, pour deux séances de découverte de l’aviron en bateau individuel d’initiation.
Le Sport Nautique de Bergerac offre aux collégiens qui ont apprécié cette première expérience, la possibilité de poursuivre cet été, dans le cadre de « L’été sportif des 10-15 ans : 1 € pour découvrir l’aviron ».
Ils pourront venir gratuitement pendant 1 à 3 séances, les mardis et/ou jeudis de 9h à 11h, durant les mois de juillet et août 2021.
Et si la motivation se confirme, ils pourront intégrer les équipes minimes du SNB, dès la rentrée de septembre. Durant les trois premières semaines de septembre, la licence est à moitié prix pour une première adhésion : 72.50€ au lieu de 145€.
L’âge idéal pour commencer l’aviron est autour de 12-13 ans. Ils feront bien sûr des entraînements en bateau mais aussi des entraînements au sol pour améliorer la coordination et la condition physique. De quoi varier les plaisirs… Ils pourront vivre l’expérience de la pratique sportive au sein d’un grand club, avec des encadrants certifiés et au contact de grands champions…
Par ailleurs, ils participeront aussi au « Challenge des collégiens bergeracois à l’ergomètre ».
Ils ont employé toute leur énergie pour parcourir la plus grande distance possible en 40 secondes sur l’ergomètre.
Une fois inscrit, pour connaître le classement dans sa classe mais surtout dans son collège et même sur les collèges bergeracois, cliquez sur le lien suivant.
Vous voyez passer de nombreuses embarcations sur la Dordogne et vous vous dites que ce sport est sans doute réservé à une élite ? Détrompez-vous ! Vous aimeriez essayer, proposer cette activité à vos enfants, mais vous n’osez franchir le pas ? Rien de plus simple : adressez-vous directement au club, situé promenade Pierre Loti, du mardi au samedi. Vous y serez bien reçu et obtiendrez les renseignements nécessaires.
Venez découvrir un sport complet, un esprit collectif et un plan d'eau hors du commun.
... Embarquez avec nous !
Si on m’avait demandé de résumer ce Run de 100 km en ergo en une seule phrase, j’aurais pu dire : « Il ne faut pas s’aimer pour faire ça !! »
Oui, il ne faut vraiment pas s’aimer, et mes 2 coéquipiers, Nathalie et Vincent, l’ont entendu plusieurs fois ce samedi 16 Mai 2020. Aussi, c’est une expérience à réaliser avec quelques bornes dans les jambes quand même. C’est une condition essentielle à la réussite de cette course sur ergomètre, mais pas uniquement. À mon avis, la première condition de réussite c’est LE MENTAL. Et ce, en 3 verbes : vouloir, être capable, valider mentalement. Un plus pour moi, il me semble, c’était que je n’avais pas d’objectifs surréalistes. Il fallait tout simplement que je finisse ce Run proprement en 8h00, voire 8h30, sans faire appel à mes anciens collègues du Centre de Secours Principal de Bergerac.
On était vraiment bien tous les 3, ce samedi, suffisamment proches et suffisamment éloignés (réf. COVID-19) pendant un peu moins de 8h00, à proximité des coques du #snBergerac, avec une vue directe sur la rivière Dordogne. Merci à Vincent d’avoir eu l’idée de ce rapprochement et merci aux Coprésidents et entraîneurs d’avoir validé ce projet.
Mon ressenti de course se fera en 4 étapes.
1- De 00 à 40 km, soit environ 3h, c’était très facile sans aucune douleur, un B1 quoi. J’ai dû manger 5 ou 6 dattes, boire 3 litres d’eau additivée (ISO+), avec mon pote d’à côté on se disait des conneries
2- Après le premier marathon, j’ai commencé à ressentir des douleurs musculaires dans les cuisses, douleurs partagées avec Nathalie et Vincent, mais bon rien de méchant. Je regarde mon compteur, et je vois le passage de 50 000 m à 49 999 m. Quel plaisir de voir cela, je suis sur le trajet retour, peut être que je vais y arriver. Aussi je me pose la question : « Mais jamais tu n’es allé au-delà Vincent ? » Oui et alors, maintenant tu y es, tu continues ! Je ne peux pas écrire toutes les questions ou scénarii que j’ai pu me poser, ce serai vraiment trop long.
3- Arrivent les 20 000 derniers mètres, là je suis dans l’impasse ! J’ai mangé 2 bananes, 1 kg de dattes (non pas tant) et bu déjà environ 6 litres d’eau dopée. Oui, je suis dans l’impasse, je repense au sketch de « la palombière », à savoir : « J’ai plus faim, j’ai plus soif, mais j’ai toujours envie de pisser. » Sérieux, je n’en pouvais plus, il fallait que j’aille pisser. Bah alors j’ai dit : je me fiche pas mal du chrono, je pose le manche, je m’accoude au mur et je passe en mode Labrador... ça libère vraiment les chakras. Bref cela me permet de me détendre jusqu’au dernier 10 000. Forcément après ça (pipi, manger, boire) ma moyenne au 500 m a pris un sacré pet derrière les étiquettes. J’étais à 2 :18.7 et passe au-dessus de 2 :19. Pas grave, je m’en tape, je ne joue pas un titre ou la maison.
4- Quand je vois 9 999 m, tout s’illumine dans le bocal. Mis à part les multiples douleurs gérables, même les trapèzes et cervicales, tiens ça me rappelle les retours en bus les dimanches soir, le couple ventilation/cardio est au top. Je tape à ±145 bpm. Donc là je me dis : « Vincent tu dois arriver aux 100 km les réservoirs vides. » Donc j’ai poussé un peu plus, aidé par les encouragements de mon pote Vincent. 5 000 m le rêve, je suis bien et j’ai réussi à descendre à 2 :13 sans souffrance. Puis arrive le dernier 2 000 m, là je m’amuse (façon de dire) à faire des impulsions à 2 :00 au 500. Le dernier 1 000 m, le dernier 500, 250, 100 ! Moins de 10 coups à faire. Et puis la fin, la libération, bordel j’ai réussi à finir ce 100 km. Je pensais pouvoir le réaliser en 8h00, voir 08h30, si ça allait mal. Bah non j’ai mis 07:43:13.3 et après 9 507 impulsions !!! C’est un double exploit pour moi, le finir et en moins de 08h00. Cela conclut en beauté cette partie indoor due au confinement.
Je remercie tout d’abord ma femme pour m’avoir supportée pendant tout ce confinement où j’ai ramé pratiquement tous les jours. Enfin je remercie Antoine Deleau ainsi que nos 2 Présidents Thierry Beaumain et Bruno Henry car sans eux je n’aurais jamais pu réaliser ce dernier Run ainsi que ces presque milles kilomètres (979 133 mètres exactement).
Le confinement a été l’occasion de se lancer dans des défis extraordinaires sur l’ergomètre. Ça a commencé avec le semi-marathon : 21 km c’est comme monter jusqu’au rocher (ça parle aux habitués) donc rien de compliqué, puis le marathon 42km ça paraissait plus difficile mais beaucoup de rameurs à travers la France se lançaient dans ce défi, il n’était donc pas impossible. Les coureurs à pieds ont des épreuves mythiques, le marathon en est une. J’ai toujours eu envie de pouvoir vivre ce genre d’épreuve physique mais la course ce n’est plus pour moi. En revanche, le faire sur un rameur c’était possible. Et puis on a vu quelques rameurs réaliser le défi du 100 km. Ça a déclenché une envie irrésistible de tester cet effort très particulier, qu’on nomme d’ultra endurance. Un 100 bornes c’est très parlant pour moi qui ai vu mes parents dans les années 80 faire les 100 km de Belvès (je les suivais avec mon petit vélo et les ravitaillements sur le porte bagage). Je voulais faire moi aussi cette expérience.
J’avais confiance dans mes qualités d’endurance. Quand on vieillit et si on s’entraîne bien, ce qu’on perd en puissance on le compense par une grosse capacité aérobie. Mais il faut trouver l’allure qui permet de durer pendant des heures sans trop s’approcher de la limite où on commence à produire de l’acide lactique. C’est l’allure en endurance fondamentale, entre 60 et 70% de sa fréquence cardiaque maximale. Donc j’ai cherché l’allure idéale pour rester facile pendant 2h. Conclusion : entre 2min 21 et 2min 23 aux 500m c’était l’allure facile. Ça amenait à faire le 100km plus ou moins en 8h.
Et puis j’ai regardé le temps du record du monde par curiosité 7h50m56s soit 2m 21s 2 aux 500m soit pas très loin par rapport à ce que j’envisageais. Il était donc accessible, enfin peut-être…
C’est là que j’ai beaucoup douté et hésité entre la sagesse de partir plutôt en dedans pour être sûre de finir ou bien tenté le record en partant un peu plus haut avec le risque de partir trop fort et de prendre le mur comme on dit.
La veille, j’étais sur la version sage. Et j’ai vu la performance d’un rameur d’Arcachon qui a battu le record de France du 100 km en partant à 72% de son max et en réussissant à tenir l’intensité tout le long. Un petit message pour lui demander des conseils et une réponse à 5h du matin le jour J qui me confirme que je peux envisager la version plus haute. Ça y est, je suis décidée, je vais partir sur les bases du record et essayer de tenir. On verra bien.
6h40 à la fraîche, prête à commencer avec mes complices, les deux Vincent, suffisamment à distance par rapport aux règles de distanciation physique mais présents pas loin. Ça rassure quand même de ne pas être totalement seule.
C’est parti, sur la base de 2min 20s aux 500m et le cardio se cale sur 132 battements à la minute comme prévu. J’ai prévu de regarder des séries de Netflix sur ma tablette le temps de l’autonomie de mes écouteurs sans fil c’est-à-dire 4h. C’est facile, je suis en équilibre respiratoire mais je doute un peu car le cardio dépasse assez souvent la limite que je me suis fixée. Mes coéquipiers battent plus bas, ils sont plus sages. La question est jusqu’à quand le cardio va rester comme ça. J’essaie de contrôler, de maîtriser l’intensité pour que le cardio se calme. Mais je me sens très bien.
3h après, les douleurs musculaires commencent à apparaître surtout dans les ischios. Mais rien de grave. Je cherche le relâchement, l’économie du geste. Le cardio s’approche de 140, il monte tout doucement, tout va bien.
50km, on bascule du bon côté mais il en reste autant donc il va falloir être très patiente. Le cardio s’approche de 150 c’est comme un entraînement en B2 je sais qu’on peut tenir très longtemps à ce rythme, j’ai confiance. Les séries c’est fini, il n’y a plus de distraction mais je me rends compte que les heures défilent plutôt rapidement. Je fais très attention, dès le départ, à boire de l’eau sucrée toutes les 20 min et à manger un peu toutes les heures. Et cela rythme mon effort. Je me réjouis parce que dans 5 min je vais boire. Ça passe relativement vite. On se satisfait de tout petit rien. On est vraiment dans l’instant présent. Je suis toujours à égale intensité, depuis le début je tire à 2min 20 / 21 aux 500m juste en dessous du record.
Il reste 20 km, je reste très prudente, je ne veux pas accélérer parce que je sais qu’une défaillance est possible jusqu’à la fin. La douleur aux talons qui frottent est assez désagréable. Je pense à me redresser pour soulager mon dos, je veille à raccourcir la longueur du coup pour protéger mes genoux fragiles. Je suis toujours très à l’aise au niveau cardio mais je commence à sentir une fatigue dans les bras alors je me concentre sur la poussée des jambes. Ça occupe l’esprit.
6000m avant la fin, je suis toujours très bien au cardio, 155 battements/min environ et je me dis que je suis en tête de rivière à Sainte Livrade, en gros dans une demi-heure c’est terminé. Ça va le faire ma moyenne aux 500 est largement en dessous du record, je me rends compte qu’elle ne bougera pas beaucoup, alors je continue au même rythme sans en faire plus.
2000m, dernier bassin, dans 9 min c’est fini. J’aurais voulu pousser un peu plus mais à quoi bon. Je vais attendre. Pourquoi se faire mal ?
Dernier 500m bon là pour le plaisir de finir un peu plus tôt et parce que la défaillance n’arrivera pas, j’augmente l’intensité pour le plaisir de faire un tout petit « enlevage ».
J’ai gagné mon pari personnel, 7h 49min 36s soit 2min 20s 8 aux 500m, record du monde dans ma catégorie.
Je suis contente d’avoir réussie et je suis aussi très contente de l’avoir fait sans souffrir. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, je n’aime pas avoir mal. Etonnement, je n’ai pas senti la douleur musculaire que l’on ressent à la fin d’une course sur 500m, sur 1000m et sur 2000m. Cet effort-là est tout à fait différent. Il n’est pas désagréable du tout quand tout se passe bien et qu’on ne rencontre pas le fameux « mur ».
La fatigue, je l’ai sentie dès que je me suis arrêtée et que je me suis levée comme si le mouvement perpétuel avait en quelque sorte anesthésié mon corps. Pour finir, c’était une sacrée expérience sportive, très centrée sur soi, c’est vrai mais qui contribue à mieux se connaître encore.
Merci aux deux Vincent qui ont accepté de relever le défi avec moi, aux présidents Bruno et Thierry qui ont accepté qu’on le fasse devant le club, aux copains qui sont passés nous voir et aux coachs qui acceptent nos délires un peu fous de vieux rameurs.
Bon alors, comment résumer cette folle aventure ?
Tout d’abord, il faut revenir à ce qui nous a amené là, c’est-à-dire le confinement car je crois bien qu’avant cela, personne (du moins normalement constitué) n’aurait pensé à se lancer dans un tel défi.
Pour ma part, tout est allé vite. J’ai un ergomètre depuis 4 ans chez moi mais je n’avais jamais dépassé les 15 km. Je me rappelle les entraînements avec Christian Crespy pour le Crunch à Paris, j’ai passé deux mois à me lever à 4h du matin pour pouvoir m’entraîner. Mais là c’est autre chose avec le confinement, il n’y a pas d’enjeu, à part d’occuper le temps. Donc on a participé au World Erg Challenge d’avril et là tout s’est enchaîné, semi-marathon, marathon, relai 24h jusqu’au fameux 100 km.
En ce qui me concerne, j’ai rempli cette mission, jusqu’aux trois quarts mais cela valait le coup. Déjà pour respecter l’esprit de camaraderie qui impose à vos coéquipiers de vous attendre quand vous êtes en retard. Ce jour J, je pars avec l’esprit ailleurs en sachant pertinemment que je n’avais pas la condition pour le faire. Mais étant donné que je m’étais engagé, je devais aller jusqu’au bout.
Donc pour résumer, je pars sur un facteur de résistance peu élevé par rapport à d’habitude (90), les 40 premiers km passent comme une fleur. Merci au passage à Vincent de m’avoir mis les Pink Floyd.
Ensuite, je me sens pousser des ailes, je passe d’une moyenne à 2m11s aux 500m à 2m06s sur 20 km et là je savais que ça ne tiendrait pas mais peu importe pour ma tête de mule, je ne sais pas faire les choses en douceur.
Le verdict tombe au 74ème kilomètre avec abandon. Cela ne me ressemble pas mais il faut se faire une raison.
C’est un échec qui va me permettre de reconstruire derrière. Je remercie Vincent et Nathalie qui m’ont supporté et je les félicite d’être arrivés au bout.
Après la victoire du Sport Nautique de Bergerac dans le "World Erg Challenge", le journal Sud-Ouest relate les exploits de nos rameurs en cette période de confinement.
Vous pouvez revivre leurs exploits à travers
l'article du journal, ou en relisant, sur notre site, les témoignages de nos forçats de l'ergo.
La saison sportive est à l’arrêt, les compétitions nationales et internationales en aviron comme pour les autres sports sont annulées et les seules perspectives de compétitions sont à présent pour le mois de septembre, si la situation en France s’améliore et autorise la reprise des activités sportives. Une situation très difficile pour les rameurs qui bouclaient leur grosse préparation hivernale et qui allaient commencer la partie la plus réjouissante de la saison, celle des compétitions d’abord en bateaux courts puis en bateaux longs.
La direction sportive du Sport Nautique de Bergerac a voulu, malgré cette situation, permettre à ses rameurs de conserver une activité sportive pour maintenir les acquis et entretenir leur condition physique afin d’être prêts pour la reprise des compétitions quand elle aura lieu.
Ainsi, une trentaine d’ergomètres (rameurs concept 2) et du matériel de musculation ont été prêtés par le club à une sélection de rameurs de la catégorie J16 aux séniors.
Pour animer le confinement et apporter une émulation à distance dans le groupe, la « Team SN Bergerac » a été créée pour participer au "World Erg Challenge" concept 2 du 15 mars au 15 avril. Il s’agissait de ramer sur « l’ergo » tous les jours pour les plus âgés et de suivre le plan proposé par les entraîneurs mais aussi de cumuler pour l’équipe le maximum de kilomètres.
Ce challenge mondial virtuel, qui intéresse habituellement les seuls passionnés d’aviron indoor, a suscité cette année un grand enthousiasme international chez les spécialistes de l’indoor
confinés mais aussi chez les rameurs privés de bateau.
Les bergeracois se sont pris au jeu et sortent vainqueurs avec un cumul de 4718 km. L’équipe gagne dans sa catégorie en "Team virtuel" de moins de 20 équipiers.
Les jeunes et les moins jeunes, en confinement en Dordogne ou ailleurs en France, certains dans leur petit logement d’étudiant à Lyon, Nancy, Agen ou Toulouse se sont surpassés lors des derniers jours en effectuant des marathons à répétition. Ils ont pu ainsi découvrir une nouvelle forme de performance, celle de la longue distance alors qu’ils pratiquent d’habitude sur 2000 m.
Qui s'est déjà entraîné sur un ergomètre, sait que durer au-delà d'une heure sur la machine n'est pas facile. Ce sont les anciens, plus enclins aux efforts de longue distance qui ont tenté en premier ce fameux marathon entraînant dans leur sillage les jeunes, qui ont relevé le défi à leur tour de bien belle manière. Voici les témoignages des fadas du marathon :
"J'ai été motivé quand j'ai vu toutes les personnes dans le groupe faire un marathon. Alors on s'est dit avec les copains : "Pourquoi pas essayer de nouvelles sensations". On n'a pas été déçu, loin de là. On avait décidé de faire ce marathon à 3 avec Baptiste et Simon et on avait décidé de le faire en Facetime pour se donner du courage et trouver le temps un peu moins long. Le marathon a été très surprenant car je ne m'attendais pas à avoir autant de difficultés sur ce genre d'épreuve. Les premiers 21 kms ont été assez facilement encaissés car le mental était là. C'était pas si terrible que ça, à part que c'était long. Arrivé aux 15 derniers kms, le moral a flanché d'un coup et l'envie d'arrêter tournait dans la tête. Mais j'ai continué parce que les copains étaient là. Les 6 derniers kms étaient horribles car le mal aux fesses se ressentait très fortement et l'approvisionnement en eau était coupé. Une fois arrivé à la fin, c'était le soulagement (2h 56 min 40). J'ai eu mal aux fesses pendant les deux jours suivants. " Yann Le Campion
"Lundi 13 Avril 2020, avec Yann et Simon, on décide de faire un semi marathon pour faire notre séance de sport de la journée. On part se mettre en tenue et la on se dit sur un coup de tête : « Et si on faisait un marathon ? ». 42 km195 au lieu de 21 km c’est comment faire 10 km au lieu de 5 km je me disais…On décide de s’appeler en visio pour pouvoir communiquer sur nos moyennes et s’encourager mutuellement. 17h00, nous voilà partis pour 3h d’ergo non-stop. 20h00, 42 km 195 m plus tard, 10 gourdes bues et 3L de transpi en moins on termine le marathon. Je suis fier d’avoir fini le marathon, et ça a été une expérience très agréable malgré la fatigue accumulée derrière. Merci a Simon et Yann pour avoir fait le marathon ensemble, et à tous les gars qui sont passés nous encourager pendant l’appel visio (Alex, Guillaume, Karim, Tobias, Thibaut, Augustin...)." Baptiste Debest
"Au début, je ne comptais pas faire un marathon mais seulement faire des kilomètres pour le challenge, à allure faible, en regardant des films. Mais 1h30 après, j'ai remarqué que c'était passé relativement vite et j'avais déjà passé le semi. Du coup, j'ai continué. Le problème pour moi, ce n’était pas la douleur dans les jambes mais juste la fatigue à partir de 35 kms. Je faisais des pauses toutes les 20/30 min. Et la deuxième partie est passée très lentement du coup. A la fin j'étais content de l'avoir fait et de rapporter des kms à l'équipe pour le challenge. C'était cool de l'avoir fait mais je ne compte pas le refaire d'ici un bon moment car l'ergo ce n’est pas très amusant." Tobias Gilbert
"Dès qu'il y a un défi à relever, même s'il est trop grand, je tente le coup. J'aurais dû me préparer mieux que ça, faire un 25 kms (…) et moins de charge de travail 15 jours avant ça aurait été mieux. (…) Je trouve que la douleur physique est différente pas forcément mal aux jambes mais plus aux articulations d'épaules, tension dans le dos, que l'on n'a pas sur les courtes distances, mais surtout la monotonie (regarder ce putain de cadran pendant plus de 3 heures tu pètes un câble), ou alors il faudra le faire à plusieurs. Enfin bref malgré le temp médiocre que j'ai fait, très content de l'avoir fait je pensais pas un jour faire un marathon. Au moins du positif à cause de ce putain de covid 19." Christian Crespy
"Après avoir fait le semi marathon, je voulais aussi tester le marathon et en voyant tout le monde le faire, je me suis dit que c'était l'occasion d'en faire un. (...) A partir des 35 kms, j'avais très très mal partout, j'avais plus de bras, plus de jambe et surtout très mal à rester assi sur ma coulisse, mais après je suis reparti en me disant qu'il ne restait pas beaucoup de kms et j'ai commencé à tout donner pour finir. C'est une grande satisfaction d'avoir fini le marathon." Augustin Caillet
"Ça y est, j’ai réalisé mon 1er marathon sur ergomètre, mon 1er marathon tout court d’ailleurs ! Quelle expérience, quel défi. Jamais je n’aurais pu me lancer dans ce défi seul. C’est grâce à la team SN Bergerac que j’ai pu valider dans ma tête de réaliser cette longue distance. L’émulation, voilà le mot adéquat : faire bien, faire mieux, se surpasser et enfin s’améliorer. Je pense que j’en referais un autre tout simplement pour faire mieux, car par crainte de ne pas y arriver, je l’ai réalisé en mode ÉCO. Cela saute aux yeux quand je regarde ma courbe cardio. Mon objectif premier était de le finir et je l’ai fini. Le plus dur reste peut-être la préparation mental, se dire que je vais ‘’ramer’’ pendant plus de 3 heures… ça fait mal aux yeux avant le départ et pendant 1 heure. Physiquement, ça a commencé à piquer dans les 3 derniers kilos. Là je me suis dit : "waouuuu tu y es arrivé, poses tout et pousses". J’ai fini il faut le dire, fatigué mais serein et surtout content du devoir accompli." Vincent Ménégon
La période est aux défis et nombre de rameurs s'attaquent en ce moment aux épreuves aviron indoor proposée par la Fédération Française d’Aviron et tentent de battre quelques records. Nathalie Villechenaud, dans sa catégorie Femme Poids léger 40-49 ans, s’est d'abord attaquée au record de l'heure et a réalisé la performance de 14471m battant le précédent record de 591 m. Puis entraînée par l'émulation de la Team SN Bergerac, elle a tenté et réussi à boucler le marathon en 3 h 05 min et 58 s à seulement 5 min du record du monde. Cette performance lui vaut donc le record de France dans sa catégorie.
Bonjour à tous,
La Fédération française d'aviron a annoncé hier l'annulation et le report des championnats de France "Jeunes" (Libourne), J16 et -23 ans (Brive), Masters (Mantes-la-Jolie). Les championnats du monde juniors, -23 ans et élites sont également annulés.
La saison nationale est "gelée" pour le moment mais pas finie ! Nous espérons un report des compétitions nationales aux mois de septembre et octobre. En revanche nous savons déjà qu'il n'y aura pas de classements des clubs en fin d'année.
La durée du confinement étant encore indéterminée, nous restons sur les mêmes protocoles d'entraînements vis-à-vis des différentes catégories du club. Nous sommes en lien permanent avec les rameurs pour maintenir le moral des troupes en cette période compliquée.
Sachez que les efforts fournis par les rameurs et leurs parents pour venir aux entraînements cette saison ne seront pas vains. En effet, si l'activité physique est pratiquée régulièrement* durant le confinement, le niveau des rameurs restera stable, le bénéfice se ressentira la saison prochaine et nous pourrons repartir sur des bonnes bases. C'est pourquoi il est important de se fixer des objectifs personnels et de garder une activité qui sera source de bien-être mental et physique.
En espérant que cette période se déroule au mieux pour vous.
Très Sportivement,
L'encadrement.
* Minimum trois séances par semaines à 80% de l'intensité physique maximale.
Bonjour à tous,
Depuis quelques jours, nous savions que la Fédération Française d'aviron a annulé les championnats de France bateaux courts, la coupe de France des Ligues ainsi que les manifestations jusqu'à fin avril.
La période de confinement et de dé-confinement étant indéterminée, la Fédération a annoncé hier que les championnats de France Juniors et séniors sprints, qui devaient se dérouler début juin à Vichy, sont annulés à leur tour et "reportés".
Les régates de Libourne début mai annulées, il faut s'attendre à ce que les rameurs et rameuses ne retrouvent pas le chemin des bassins avant la mi-juin, en étant optimiste.
Nous serons à l'affut de la moindre information concernant un retour à la normale concernant les conditions de reprise de l'entrainement au sein du club, et vous en informerons naturellement. La priorité en cette période difficile étant bien-sûr de respecter les consignes gouvernementales et de préserver la santé et l'intégrité publique.
Nous encourageons les rameurs et rameuses à conserver une activité physique régulière pendant cette période.
Nous tenons également à les féliciter pour leur implication au quotidien.
N'hésitez pas à me contacter pour tous renseignements à l'adresse mail : antoinedeleau.snbergerac@orange.fr
Très sportivement,
Antoine Deleau
Le dimanche 8 mars se sont déroulés aux quatre coins de la France les têtes de rivières nationale, première étape de la sélection nationale et régionales. Voici les résultats des dragons.
A Caen les meilleurs séniors Français étaient convoqués pour s’affronter et se jauger. Les Bergeracois briguant des places en équipes de France ont eu fort à faire sur le bassin normand agité par le vent.
En 2- barreur Sénior homme, Téo Rayet auteur d'une belle performance avec son équipier d'Aix les Bains se classe 6ème. Les deux compères valident leur progression et semblent en bonne voie pour
être performants !
Antoine Perdigal, tout jeune sénior prend la 16ème place, il est associé à Victor Tolstonlam (Aviron Toulousain). Des résultats encourageants.
A noter que ces deux équipages sont des espoirs -23 ans.
Nicolas Stender nouvellement associé à Robinson Doumic (Verdun) se classe 13ème. Nicolas était auparavant appairé avec Franck Solforosi (Lyon), médaillé de bronze aux Jeux Olympiques de Rio, mais blessé au dos celui-ci a dû mettre un terme à sa carrière.
De son côté Mathieu Duvignacq (-23 ans) sur le retour se classe 23ème en skiff poids légers. Une course folle dans laquelle la hiérarchie nationale fût complétement chamboulée ! Affaire à suivre.
Les autres rameurs du club avaient quant à eux rendez-vous sur le bassin des Dagueys à Libourne pour un format exceptionnel de tête de rivière. En effet, le Lot étant en crue la compétition n’a pas pu se faire sur le traditionnel parcours de Sainte-Livrade-sur-Lot. C’est donc sur une épreuve en allers et retours (3x2000 m) que les rameurs aquitains et occitans se sont affrontés.
Chez les juniors hommes la paire Gilbert / Debest se classe deuxième et réalise une belle performance en se rapprochant des Toulousains (meilleurs Français dans cette discipline).
Chez les skiffeurs juniors hommes Caillet A se classe 7ème, Roux 11ème, et Feltrin 14ème.
En skiff junior femme Liz Delbos confirme ses progrès et se classe 4ème.
Chez les séniors hommes, Hadrien Godé et Quentin Stender prennent la première place d’une épreuve du deux sans barreur sans grande concurrence. Les deux champions de France 2019 en quatre barré (Godé, Rayet, Stender Q, Stender N, Crespy) retrouvent leurs sensations après un hiver tranquille.
En skiff homme, Vincent Millot remporte l’épreuve et Quentin Lauriou prend la troisième place. Chez les poids légers, Nicolas Delage prend la deuxième place et attend avec impatience l’épreuve en deux sans barreur avec son coéquipier Simon Bouchez.
Enfin, la journée était animée par des courses en bateaux longs chez les jeunes, ainsi les cadettes ont pu s’aligner en huit et découvrir la rigueur de l’épreuve. Puis les benjamins et minimes se sont affrontés sur la distance de 2000 m en huit et en quatre, épreuve comptant pour le championnat national jeunes.
Les prochains rendez-vous sont les championnats de ligue J16 en bateaux courts le dimanche 15 mars, et les championnats inter-régionaux juniors/séniors en bateaux courts, qualifications pour les championnats de France, les 21 et 22 mars à Cazaubon (Gers).
A.D.
Le dimanche 16 février, 70 rameurs du Sport Nautique de Bergerac ont participé au challenge Nouvelle-Aquitaine à Bordeaux-Lac (33).
Les jeunes de l’école d’aviron du Sport Nautique de Bergerac ont réalisé une belle démonstration avec l’équipage du huit benjamines, qui remporte sa course, et les équipages en quatre, qui terminent premier et deuxième.
Les minimes quant à eux remportent les courses en quatre filles et quatre garçons.
De leurs côtés les cadets et cadettes sont pour le moment un peu moins en réussite, les groupes en construction sont en progrès mais manquent d’expérience.
Les juniors et séniors étaient présents. Cette compétition a constitué le premier état des lieux pour les séniors du club, sans les hommes du quatre barré Champion de France en 2019, qui étaient retenus sur leurs Pôles d’entrainements. Le huit séniors hommes répond présent et remporte sa course devant Libourne et l’équipage juniors du SNB. Le double séniores femmes se classe second dans une course très disputée.
Prochain rendez-vous lors de la compétition longue distance le 8 mars, épreuve préparatoire pour les championnats de France Bateaux courts.